Guide du lecteur

Bien que restant limités dans de nombreux pays faute de données suffisantes, les indicateurs portent en principe sur le système d’éducation dans son ensemble (sur le territoire national), quels que soient le statut ou le mode de financement des établissements d’enseignement à l’étude et les mécanismes selon lesquels l’enseignement est dispensé. À une exception près (décrite ci-dessous), les catégories d’élèves et étudiants et les groupes d’âge sont en principe tous inclus : les enfants (y compris les enfants ayant des besoins spécifiques d’éducation), les adultes, les ressortissants nationaux, les ressortissants étrangers, ainsi que les individus en formation à distance, inscrits dans l’enseignement spécialisé ou adapté ou suivant une formation organisée par un ministère autre que le ministère de l’Éducation, à condition que l’enseignement dispensé ait pour principal objectif de former les individus. Les données sur les dépenses de formation initiale et les effectifs scolarisés excluent l’enseignement technique et la formation professionnelle dispensés en entreprise, sauf s’il s’agit de formations en alternance considérées comme faisant explicitement partie du système d’éducation.

Les formations qui s’adressent aux « adultes » ou qui sont de type « non traditionnel » sont prises en considération pour autant qu’elles comportent des cours ou des matières analogues à ceux de l’enseignement « ordinaire » ou qu’elles soient sanctionnées par des diplômes équivalents à ceux délivrés à l’issue de formations relevant de l’enseignement ordinaire.

Sont exclues les formations que les adultes suivent essentiellement par intérêt personnel, dans un souci d’épanouissement ou à des fins récréatives.

Pour de plus amples informations sur le champ couvert par les indicateurs de Regards sur l’éducation, consulter l’ouvrage Guide de l’OCDE pour l’établissement de statistiques internationalement comparables dans le domaine de l’éducation 2018 (OCDE, 2019[1]).

Les indicateurs de Regards sur l’éducation sont le fruit d’un processus d’amélioration méthodologique continu qui vise à accroître la durabilité et la comparabilité internationale desdits indicateurs. En conséquence, afin d’effectuer une analyse des indicateurs au fil du temps, il est fortement recommandé de s’appuyer uniquement sur l’édition la plus récente de Regards sur l’éducation, plutôt que de comparer les données des différentes éditions. Les comparaisons dans le temps présentées dans ce rapport se fondent toutes sur des révisions annuelles de données historiques ainsi que sur les améliorations méthodologiques mises en œuvre dans la présente édition.

La présente publication contient des données sur l’éducation provenant de tous les pays membres de l’OCDE1, de deux pays partenaires qui participent au Projet de l’OCDE sur les indicateurs des systèmes d’enseignement (INES) – le Brésil et la Fédération de Russie – et des autres pays partenaires du G20 ou des pays en passe d’accéder à l’OCDE qui ne sont pas membres des réseaux INES – l’Afrique du Sud, l’Arabie saoudite, l’Argentine, l’Inde, l’Indonésie et la République populaire de Chine. Les données des pays ne participant pas au projet INES peuvent provenir des collectes régulières de données de l’INES, de l’Institut de statistique de l’UNESCO.

Dans certains cas, les données des pays portent sur des entités infranationales ou des régions.

Les données statistiques concernant Israël sont fournies par et sous la responsabilité des autorités israéliennes compétentes. L’utilisation de ces données par l’OCDE est sans préjudice du statut des hauteurs du Golan, de Jérusalem-Est et des colonies de peuplement israéliennes en Cisjordanie aux termes du droit international.

Il y a lieu de tenir compte de la taille de la population et de la superficie des entités infranationales lors de l’interprétation des résultats les concernant. Au Canada par exemple, il y avait en 2017 37 996 habitants sur une superficie de 1.9 million de km² au Nunavut, mais 14.2 millions d’habitants sur une superficie de 909 000 km² en Ontario (OCDE, 2020[2]). En outre, les disparités régionales tendent à être plus fortes lorsque les entités infranationales sont plus nombreuses, comme dans les grands pays tels que le Canada, les États-Unis et la Fédération de Russie.

Par souci d’uniformisation, les entités nationales et infranationales sont désignées respectivement par les termes « pays » et « économies » dans cette publication. Les entités territoriales et infranationales sont suivies de leur pays, par exemple « Angleterre (Royaume-Uni) ». Par souci de cohérence avec d’autres indicateurs de Regards sur l’éducation, la dénomination « Flandre (Belgique) » utilisée dans l’Évaluation des compétences des adultes, administrée dans le cadre du Programme de l’OCDE pour l’évaluation internationale des compétences des adultes (PIAAC) et l’Enquête internationale sur l’enseignement et l’apprentissage (TALIS) est remplacée dans cet ouvrage par celle de « Communauté flamande de Belgique ». Dans les tableaux et graphiques, les abréviations « Comm. flamande (Belgique) » et « Comm. française (Belgique) » désignent respectivement les Communautés flamande et française de Belgique.

Regards sur l’éducation a pour principal objectif de fournir une compilation de référence des comparaisons internationales clés en matière de statistiques dans le domaine de l’éducation. Les valeurs globales des pays sont présentées dans ces comparaisons, mais il ne faut pas en déduire que la situation est homogène à l’échelle nationale. Les moyennes nationales occultent en effet des différences significatives entre entités infranationales, tout comme la moyenne des pays de l’OCDE occulte des différences entre les pays.

La moyenne de l’OCDE est indiquée dans de nombreux indicateurs, et le total de l’OCDE l’est aussi dans certains d’entre eux. La moyenne de l’OCDE est la moyenne non pondérée de tous les pays de l’OCDE2 dont les données sont disponibles ou peuvent être estimées. La moyenne des pays de l’OCDE correspond donc à la moyenne des valeurs de tous les systèmes d’éducation à l’étude et peut être utilisée pour comparer l’indicateur d’un pays avec celui du pays « type » ou moyen. Elle est calculée abstraction faite de la taille, en valeur absolue, du système d’éducation de chaque pays.

Les données de l'Enquête internationale sur l’enseignement et l’apprentissage (TALIS) présentent une moyenne OCDE-31. Il s'agit d'une moyenne non pondérée calculée sur la base des données relatives aux enseignants du niveau 2 de la CITE dans les 31 pays et économies de l'OCDE participant à TALIS dont les données sont adjugées.

Le total de l’OCDE est la moyenne pondérée de tous les pays de l’OCDE3 dont les données sont disponibles ou peuvent être estimées. Il correspond donc à la valeur de l’indicateur dans les pays de l’OCDE considérés dans leur ensemble. Il permet par exemple de comparer le montant des dépenses de divers pays à celui de tous les pays de l’OCDE dont les données sont disponibles, considérés ici comme une entité unique.

Dans les tableaux qui contiennent des séries chronologiques, une moyenne supplémentaire est calculée sur la base des pays dont les données de chaque année de référence sont disponibles. Cette méthode permet de comparer l’évolution de la moyenne de l’OCDE pendant la période de référence, abstraction faite de la variation due à l’exclusion de pays dont les données de certaines années ne sont pas disponibles.

La moyenne de l’UE23 est également indiquée dans un grand nombre d’indicateurs. Elle correspond à la moyenne non pondérée des 23 pays à la fois membres de l’Union européenne et de l’OCDE dont les données sont disponibles ou peuvent être estimées. Cette édition présente des séries chronologiques établies par le Secrétariat de l'OCDE pour l'UE23 ; elles incluent le Royaume-Uni pour l'ensemble des séries, même lorsque les données vont au-delà de la date du retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne, le 1er février 2020. Les 23 pays ainsi inclus dans cette moyenne sont : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, le Danemark, l’Espagne, l’Estonie, la Finlande, la France, la Grèce, la Hongrie, l’Irlande, l’Italie, la Lettonie, la Lituanie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République slovaque, la République tchèque, le Royaume-Uni, la Slovénie et la Suède. Dans les éditions à venir, l'agrégat « Union européenne » sera modifié de façon à exclure le Royaume-Uni de l'ensemble des séries chronologiques.

Le total UE23 est la moyenne pondérée de tous les pays de l’OCDE-UE dont les données sont disponibles ou peuvent être estimées. Il correspond donc à la valeur de l’indicateur dans toute la zone OCDE-UE, considérée dans son ensemble. Les pays couverts sont les mêmes que pour la moyenne UE23.

Pour certains indicateurs, une moyenne G20 est indiquée. Elle correspond à la moyenne non pondérée des valeurs des pays du G20 dont les données sont disponibles ou peuvent être estimées (l’Afrique du Sud, l’Allemagne, l’Arabie saoudite, l’Argentine, l’Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la Corée, les États-Unis, la Fédération de Russie, la France, l’Inde, l’Indonésie, l’Italie, le Japon, le Mexique, le Royaume-Uni et la Turquie ; l’Union européenne est le 20e membre du G20, mais n’est pas prise en compte dans ces calculs). La moyenne du G20 n’est pas calculée lorsque les données de la Chine et de l’Inde ne sont pas disponibles.

Les données manquantes peuvent avoir une incidence significative sur les moyennes et totaux de l’OCDE, de l’UE23 et du G20. Il arrive que les données relatives à des indicateurs ne soient pas disponibles ou que des catégories soient sans objet dans certains pays. Le lecteur doit donc garder à l’esprit que les moyennes de l’OCDE, de l’/UE23 et G20 » se rapportent aux pays de l’OCDE, de l’UE23 ou du G20 retenus dans les comparaisons. Les moyennes ne sont pas calculées si les données ne sont pas disponibles ou portent sur des catégories différentes dans plus de 40 % des pays.

Une moyenne est indiquée dans certains indicateurs. Elle correspond à la moyenne arithmétique des estimations relatives aux entités nationales et infranationales présentées dans les tableaux et graphiques.

Les niveaux d’enseignement sont classés en fonction de la Classification internationale type de l’éducation (CITE). La CITE est un instrument permettant de produire des statistiques de l’éducation comparables à l’échelle internationale. À la suite de la révision de la CITE-97, la nouvelle Classification internationale type de l’éducation (CITE 2011) a été officiellement adoptée en novembre 2011. Cette nouvelle classification est utilisée dans le présent ouvrage, sauf dans les tableaux présentant des données provenant de l’Évaluation des compétences des adultes (PIAAC), lesquelles portent sur la classification de la CITE-97.

Le tableau B présente les niveaux de la CITE 2011 utilisés dans cette publication (OCDE/Eurostat/Institut de statistique de l'UNESCO, 2015[3]).

Certains indicateurs portent sur des niveaux de formation intermédiaires. Ces niveaux de formation correspondent à des cursus relevant d’un niveau d’enseignement de la CITE 2011, mais considérés comme insuffisants pour achever ce niveau, de sorte qu’ils sont classés à un niveau inférieur de la CITE 2011.

La classification de la CITE permet aussi l'analyse de dimensions complémentaires des programmes, telles que leur orientation et l'accès direct à des niveaux supérieurs d'enseignement (tableau C). L'orientation du programme, définie par le deuxième chiffre du code CITE, peut être soit générale, soit professionnelle aux niveaux 2 à 5 de la CITE. L'éducation et la formation professionnelles (EFP), thème central de cette édition 2020, sont le plus souvent dispensées du premier cycle de l'enseignement secondaire à l'enseignement tertiaire de cycle court. Les formations en filière professionnelle préparent les élèves aux emplois de niveau ouvrier qualifié et/ou technicien. Elles peuvent aussi inclure les programmes de seconde chance ou de réintégration, qui permettent soit de revoir les contenus déjà abordés dans le deuxième cycle de l'enseignement secondaire, soit de changer de filière. La classification de la CITE 2011 permet aussi de distinguer les formations de niveau tertiaire (niveaux 5 à 8 de la CITE) selon leur orientation, académique ou professionnelle. Toutefois, en l'absence de définitions reconnues au niveau international de ces catégories de l'enseignement tertiaire, la catégorie « non spécifié » est souvent utilisée dans les statistiques internationales relatives aux niveaux 6 à 8 de la CITE.

La CITE 2011 introduit une dimension complémentaire – réussite d'un niveau de la CITE et accès direct à des niveaux supérieurs d'enseignement –, représentée par le troisième chiffre du code CITE (tableau C). Dans cette publication, cette dimension est utilisée pour analyser les passerelles entre les formations en filière professionnelle du deuxième cycle de l'enseignement secondaire et les niveaux supérieurs d'enseignement. À titre d'exemple, le code CITE 354 correspond à une formation en filière professionnelle du deuxième cycle de l'enseignement secondaire donnant directement accès à l'enseignement tertiaire, contrairement à une formation relevant du code CITE 353.

Dans la CITE, les cursus et les titres qui les sanctionnent peuvent être classés par domaine d’études et de formation et par niveau. Suite à l'adoption de la CITE 2011, un processus d’analyse séparée et de consultation mondiale a été mené sur les domaines d’études de la CITE. Les domaines d’études de la CITE ont été révisés et la Conférence générale de l’UNESCO a adopté la Classification des domaines d’études et de formation de la CITE 2013 (CITE-F 2013) (ISU, 2014[4]) en novembre 2013, lors de sa 37session. Le présent rapport porte sur les grands domaines d’études de la CITE-F suivants : éducation ; lettres et arts ; sciences sociales, journalisme et information ; commerce, administration et droit ; sciences naturelles, mathématiques et statistiques ; technologies de l’information et de la communication (TIC) ; ingénierie, industries de transformation et construction ; et santé et bien-être. Dans le présent rapport, le concept de « domaine d’études » désigne les différents domaines répertoriés dans cette classification.

Comme les estimations statistiques présentées dans ce rapport sont dérivées d’échantillons d’adultes, elles ne correspondent pas aux chiffres réels qui seraient obtenus si tous les individus de la population cible étaient interrogés. Il s’ensuit que les estimations sont entourées d’un degré d’incertitude qui est lié aux erreurs d’échantillonnage et de mesure et qui peut être exprimé sous la forme d’une erreur-type. L’utilisation d’intervalles de confiance permet de faire des inférences sur les moyennes et les pourcentages, compte tenu de l’incertitude propre aux estimations basées sur des échantillons. Dans ce rapport, les intervalles de confiance ont un seuil de confiance de 95 %. Autrement dit, les résultats obtenus dans une population donnée se situeront dans cet intervalle de confiance 95 fois sur 100 dans différents échantillons de cette population.

Dans les tableaux qui présentent des erreurs-types, la colonne « % » indique le pourcentage moyen et la colonne « Er.-T. », l’erreur-type. Avec cette méthode, les pourcentages calculés (%) comportent une incertitude d’échantillonnage égale à deux erreurs-types (Er.-T.). Par exemple, si le pourcentage (%) est égal à 10 et que l’erreur-type (Er.-T.) est égale à 2.6, la valeur 10 % est entourée d’une incertitude (1.96) équivalant à deux erreurs-types (2.6) dans l’hypothèse d’un risque d’erreur de 5 %. Le pourcentage réel devrait donc se situer entre 5 % et 15 % (« intervalle de confiance ») dans l’hypothèse d’un risque d’erreur de 5 %. L’intervalle de confiance est calculé comme suit : % +/- 1.96 * Er.-T., soit, dans cet exemple, 5 % = 10 % – 1.96 * 2.6 et 15 % = 10 % + 1.96 * 2.6.

Les symboles et abréviations suivants sont utilisés dans les tableaux et graphiques :

a Les données de la catégorie sont sans objet.

b Rupture des séries chronologiques, notamment lorsque les données de la dernière année disponible se rapportent à la CITE 2011 et celles de l’année précédente, à la CITE 97.

c Nombre trop limité d’observations pour garantir la fiabilité des estimations.

d Les données d’une autre catégorie sont incluses.

m Les données ne sont pas disponibles – elles sont soit manquantes, soit l’indicateur n’a pas pu être calculé en raison du nombre limité de répondants.

r Les valeurs se situent en dessous d’un certain seuil de fiabilité et doivent être interprétées avec prudence.

q Les données ont été exclues à la demande du pays concerné.

x Les données sont incluses sous une autre catégorie/dans une autre colonne du tableau (par exemple, « x(2) » signifie que les données sont incluses dans la colonne no 2).

Le logiciel statistique utilisé pour le calcul des indicateurs de cette publication peut, par rapport aux statistiques nationales, aboutir à des valeurs légèrement différentes au-delà de la quatrième décimale significative.

Le site http://www.oecd.org/education/education-at-a-glance/ décrit de manière détaillée les méthodes utilisées pour calculer les valeurs des indicateurs, explique comment interpréter ces valeurs dans les différents contextes nationaux et donne des renseignements sur les sources de données sollicitées. Les données sur lesquelles se fondent les indicateurs et le glossaire détaillé des termes techniques utilisés dans cette publication peuvent également être consultés sur ce site.

Tous les changements intervenus après la production de ce rapport sont indiqués sur les pages suivantes : www.oecd.org/publishing/corrigenda (corrections) et https://doi.org/10.1787/eag-data-en (mises à jour).

Regards sur l’éducation propose le service « StatLinks » de l’OCDE. Sous chaque tableau et graphique de cette édition de Regards sur l’éducation se trouve un lien hypertexte (URL) qui donne accès à un classeur au format Excel® contenant les données de référence de l’indicateur concerné (en anglais). Ces liens sont stables et ne seront pas modifiés à l’avenir. De plus, il suffit aux lecteurs de la version électronique de Regards sur l’éducation de cliquer sur ces liens pour ouvrir les classeurs correspondants dans une autre fenêtre.

La base de données de Regards sur l’éducation disponible sur le site OECD.Stat (http://stats.oecd.org/) regroupe les données brutes et les indicateurs présentés dans Regards sur l’éducation ainsi que les métadonnées permettant de contextualiser et de comprendre les données nationales. Cette base de données permet aux utilisateurs de ventiler les données en fonction de variables bien plus nombreuses que ne le permet le format de cette publication et, donc, d’effectuer leur propre analyse des systèmes d’éducation des pays participants. La base de données de Regards sur l’éducation peut être consultée sur le site OECD.Stat sous la rubrique « Éducation et formation ».

Dans tous les tableaux, les chiffres entre parenthèses sous le titre des colonnes servent uniquement de référence. Si ce chiffre entre parenthèses n’est pas suivi d’un autre chiffre, cela signifie que les colonnes correspondantes peuvent uniquement être consultées en ligne.

AFC

Activité de formation continue

CITE

Classification internationale type de l’éducation

CVTS

Continuing Vocational Training Survey (Enquête européenne sur la formation professionnelle continue)

EAJE

Éducation et accueil des jeunes enfants

EEA

Enquête sur l’éducation des adultes

EEE

Espace économique européen

EFP

Enseignement et formation professionnels

Er.-T.

Erreur-type

ESS

European Social Survey (Enquête sociale européenne)

ISU

Institut de statistique de l’UNESCO

NEET

Neither employed nor in education or training (jeunes sans emploi qui ne sont ni scolarisés ni en formation)

NPV

Net present value (valeur actuelle nette)

PIAAC

Évaluation des compétences des adultes

PIB

Produit intérieur brut

PISA

Programme for International Student Assessment (Programme international pour le suivi des acquis des élèves)

PML

Premier master de type long

PPP

Parités de pouvoir d’achat

R-D

Recherche et développement

STIM

Sciences, technologie, ingénierie et mathématiques

TALIS

Teaching and Learning International Survey (Enquête internationale sur l’enseignement et l’apprentissage)

TIC

Technologies de l’information et de la communication

UOE

UNESCO, OCDE et Eurostat, les trois organisations responsables de la collecte de données

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Références

[4] ISU (2014), Domaines d’études et de formation de la CITE 2013 (CITE-F): manuel accompagnant la Classification internationale de type de l’éducation 2011, Institut de statistique de l’UNESCO, Montréal, http://uis.unesco.org/sites/default/files/documents/isced-fields-of-education-and-training-2013-fr.pdf.

[2] OCDE (2020), Base de données régionales de l’OCDE, http://stats.oecd.org/Index.aspx?DataSetCode=REGION_DEMOGR.

[1] OCDE (2019), Guide de l’OCDE pour l’établissement de statistiques internationalement comparables dans le domaine de l’éducation 2018: Concepts, normes, définitions et classifications, Éditions OCDE, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/9789264305380-fr.

[3] OCDE/Eurostat/Institut de statistique de l’UNESCO (2015), Guide opérationnel CITE 2011: Directives pour la classification des programmes éducatifs nationaux et des certifications correspondantes, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/9789264228368-en.

Notes

← 1. Le 15 mai 2020, le Conseil de l’OCDE a invité le Costa Rica à devenir Membre de l’OCDE. Le Costa Rica a été inclus dans les agrégats des moyennes OCDE de cette publication, bien que le Costa Rica n’ait pas encore déposé les instruments d’accession à la Convention de l’OCDE, au moment de la préparation de cette publication.

← 2. Voir la note 1. 

← 3. Voir la note 1. 

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