3. Développer de nouvelles capacités – Le cas du commerce électronique

Torbjörn Fredriksson
Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement
  • Les pays les moins avancés ont du retard dans leur préparation au numérique et ne disposent pas des ressources suffisantes (financières, techniques et autres) pour recueillir les fruits du passage au numérique.

  • L’initiative « eTrade for all » permet de recenser les possibilités de synergies, de réduire au maximum la duplication des efforts et de fournir un soutien plus efficace aux écosystèmes du commerce électronique.

  • Les acteurs du développement doivent réserver en priorité les moyens – limités – de financement du numérique au service du développement en créant des partenariats, en réalisant plus d’investissements porteurs, et en soutenant les initiatives de renforcement des capacités numériques.

Le passage au numérique entraîne une réorganisation des activités sociales et économiques à l’échelle mondiale. Plus de la moitié des habitants de la planète utilisent aujourd’hui l’internet ; 1.5 milliard de personnes effectuent des achats en ligne (CNUCED, 2021[1]) et, selon les prévisions, le trafic internet pour la seule année 2022 sera supérieur à la totalité du trafic enregistré jusqu’en 2016 (Globe Newswire, 2018[2]). En 2020, du fait de la progression du recours à des solutions numériques au cours de la pandémie de COVID-19, la bande passante s’est accrue de 35 % au niveau mondial, contre 26 % l’année précédente (TeleGeography, 2021[3]). Le déploiement de la technologie 5G, l’utilisation de plus en plus large de l’intelligence artificielle et de l’internet des objets vont encore accélérer l’évolution vers une économie numérique fondée sur les données (CNUCED, 2021[4]). Il n’empêche que le manque de préparation au numérique et l’insuffisance du soutien financier international en faveur de la transformation numérique au niveau national pourraient laisser nombre de pays en développement en marge de l’essor que connaît l’économie numérique dans le monde.

Ce mouvement global de passage rapide au numérique s’inscrit sur fond de niveaux très inégaux de préparation à cette transition, à la fois entre les pays et en leur sein. Dans le domaine du commerce, par exemple, plus de 80 % des utilisateurs de l’internet en Europe effectuent des achats en ligne, alors qu’ils sont moins de 10 % dans un grand nombre de pays les moins avancés (PMA) (CNUCED, 2021[5]). Les PMA sont, de fait, particulièrement en retard dans la préparation au commerce électronique : sur les 20 économies figurant au bas de l’indice 2020 de la CNUCED sur le commerce électronique entre entreprises et consommateurs, 18 (toutes sauf la République du Congo et la République arabe syrienne) sont des PMA (CNUCED, 2021[5]). Ces pays manquent en outre de ressources (financières, techniques et autres) pour tirer avantage du passage au numérique. La pandémie et ses effets négatifs sur la croissance économique ont également absorbé des fonds publics qui auraient pu être utilisés pour développer les capacités numériques.

L’adoption du numérique par les chaînes de valeur mondiales et les consommateurs a des répercussions à tous les niveaux de la préparation des pays au numérique. Si la transformation numérique est mal gérée, les entreprises des pays en développement manqueront des occasions de prendre part aux chaînes de valeur mondiales et au commerce numérique, ce qui creusera encore davantage les fractures numériques.

Le passage au numérique est un défi particulièrement difficile à relever. Les difficultés qu’il engendre ont un caractère transversal et sont souvent relativement nouvelles pour les ministères qui y sont confrontés. Les technologies progressent à une telle vitesse que les responsables publics ont du mal à réagir efficacement. Le passage au numérique n’est plus un sujet qui concerne uniquement le ministère des technologies de l’information et des communications (TIC). Tous les secteurs de la gouvernance doivent s’y intéresser.

Ces difficultés mettent en lumière l’importance d’un soutien international à la transformation numérique. La part de l’aide au développement consacrée aux TIC et domaines connexes demeure insuffisante. A titre d’exemple, bien que le pourcentage de l’aide pour le commerce affectée aux TIC soit en hausse – de 1.2 % en 2017 à 2.7 % en 2019 (Graphique 3.2) –, il reste inférieur aux 3 % enregistrés sur la période 2002-05, au cours de laquelle ont eu lieu les deux phases du Sommet mondial sur la société de l’information (CNUCED, 2021[6]).

Il faudra, pour accroître la capacité des pays à faible revenu et à revenu intermédiaire à participer à l’économie numérique et à la faire leur, mettre fin aux cloisonnements qui existent au sein des administrations publiques ainsi que de la communauté du développement. Des approches novatrices de l’aide au développement sont également nécessaires. Plus précisément, des solutions intelligentes reposant sur des partenariats et sur la transparence sont essentielles pour éviter la duplication des efforts et maîtriser les coûts. L’initiative « eTrade for all », dirigée par la CNUCED, est un exemple concret de ce type de solution.

Compte tenu de l’urgence qu’il y a à combler les lacunes en matière de préparation au numérique, et des niveaux actuellement insuffisants de l’aide au développement dans ce domaine, les membres de la communauté internationale – dont les organisations bilatérales de développement – doivent travailler conjointement et innover. Or il faut du temps pour concevoir et mettre en œuvre des solutions dans les nombreux domaines où elles sont nécessaires : par exemple, améliorer les cadres législatifs et réglementaires pour accroître la confiance sur le net, développer les compétences numériques, renforcer l’entrepreneuriat dans le domaine du numérique et faciliter l’inclusion financière numérique.

Pourtant, à en juger par l’enquête réalisée en 2019 par l’agence allemande Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), de nombreux acteurs de la coopération pour le développement n’ont commencé que récemment à accorder l’attention qu’il convient à la transition numérique, usant pour ce faire de stratégies dédiées et de dotations financières (CNUCED, 2019[7]). Si certains donneurs ont cherché à utiliser le passage au numérique comme un catalyseur pour promouvoir une croissance économique inclusive et durable, seuls quelques-uns ont proposé une vision ou une approche permettant d’atténuer les effets potentiellement néfastes de cette transformation (tels que la concentration délétère du pouvoir commercial entre les mains de plateformes numériques internationales, l’accroissement de la fracture numérique et des inégalités de revenus, ainsi que l’utilisation des technologies numériques par les États et les entreprises pour contrôler les citoyens plutôt que pour leur donner des moyens de s’émanciper). Selon l’enquête, de nombreuses organisations d’aide essaient de trouver le meilleur moyen de s’organiser en interne pour concevoir et mettre en œuvre des stratégies globales d’utilisation du numérique au service du développement, afin de répondre au caractère transversal des questions en jeu (voir aussi les études de cas dans la partie IV du présent rapport).

L’initiative « eTrade for all » pourrait servir de modèle dans d’autres contextes, où l’aide au développement serait associée à la transformation numérique qui s’opère dans des domaines comme la santé, les services publics, l’éducation, l’agriculture, l’aménagement urbain et le changement climatique. Le travail collaboratif qui caractérise cette initiative peut être utile aux partenaires au développement internationaux qui se demandent comment faire pour affecter en priorité à l’utilisation du numérique au service du développement les ressources limitées dont ils disposent. Le site web de l’initiative fournit une multitude d’informations sur les 34 organisations partenaires et leurs atouts pour contribuer à une plus grande efficacité (Encadré 3.1). La liste de l’assistance technique disponible et des produits et programmes existants peut contribuer à repérer les domaines qui sont actuellement peu couverts et dans lesquels des investissements et des initiatives jouant un rôle de catalyseur pourraient être particulièrement utiles. À titre d’exemple, en rejoignant l’initiative « eTrade for all » en 2021, l’organisme de normalisation britannique (British Standards Institution) y a vu une possibilité de renforcer le soutien international aux normes pertinentes dans le domaine de l’économie numérique. Il a, dans ce contexte, publié un livre blanc sur le soutien à la transformation numérique dans les économies en développement1 et s’est associé à la CNUCED pour élaborer des questions relatives aux normes dans le cadre d’une évaluation de la préparation au commerce électronique au Kenya.

Le caractère relativement nouveau du développement du numérique et celui, transversal, des problématiques qui s’y rapportent font que l’aide au développement dans le domaine du numérique est à la fois requise de toute urgence et particulièrement difficile à organiser. Bien que la sensibilisation à l’importance du passage au numérique prenne de l’ampleur au sein de la plupart des États, il existe souvent un certain flou quant aux mesures qu’il conviendrait de prendre en premier pour accroître la préparation des pays au numérique. Ainsi, pour que l’amélioration de la connectivité à l’internet se traduise en avancées sur le plan du développement, des actions simultanées doivent être engagées dans un large éventail de domaines. Sans une bonne compréhension des domaines et des possibles mesures qu’il faudrait privilégier, il est difficile pour une administration publique d’indiquer le type de soutien international dont elle pourrait avoir besoin de la part des acteurs du développement. Ce manque de compréhension a parfois été interprété à tort comme une absence de demande de soutien pour le développement dans le domaine du numérique.

Les évaluations de la préparation des pays au commerce électronique – un outil indispensable pour accélérer le virage numérique des pays – sont l’un des produits de l’initiative « eTrade for all ».2 Elles analysent l’état actuel de préparation des pays au numérique, en se concentrant sur sept grands domaines d’action3, auxquels s’ajoutent la problématique des genres, et en mesurant le degré de développement du commerce électronique et de l’économie numérique. Chacun des 27 pays étudiés à ce jour – des PMA pour la plupart – se voit proposer un cadre d’action, avec des recommandations et des mesures à prendre pour accroître sa capacité à mettre en place le commerce en ligne et à en tirer avantage. Pour chaque mesure proposée, des partenaires régionaux ou internationaux sont identifiés et peuvent être contactés si un soutien additionnel s’avère nécessaire. Ces recommandations visent en effet à aider les pays à développer leur économie numérique (Encadré 3.2). Elles fournissent en outre une base plus solide pour permettre aux pays de participer aux processus d’action régionaux et internationaux comme la Zone de libre-échange continentale africaine, l’Organisation mondiale du commerce et la Conférence ministérielle des Nations Unies.

« L’évaluation de la préparation au commerce électronique aide les pays à prendre des mesures concrètes pour faire face aux difficultés, afin de permettre à leurs entreprises de se rapprocher d’un marché mondial du commerce électronique en rapide expansion. »
Ratnakar Adhikari, Directeur exécutif du Secrétariat exécutif du Cadre intégré renforcé à l’Organisation mondiale du commerce.  
        

Une autre initiative née de « eTrade for all » – « eTrade for Women » – contribue à l’avènement d’une croissance économique inclusive et durable en donnant aux femmes les moyens d’agir dans l’économie numérique, conformément aux Objectifs de développement durable 5 et 8. Ses personnalités « porte-drapeaux » participent à des dialogues sur l’action publique aux niveaux national, régional et mondial. « Si l’on réunit tous les acteurs concernés autour de la table, il est ensuite plus facile de mettre en œuvre de nouvelles mesures car elles ont déjà été discutées et approuvées », a indiqué la « porte-drapeau » pour l’Afrique de l’Ouest Patricia Zoundi Yao, fondatrice et directrice générale de QuickCash en Côte d’Ivoire. « Par le passé, lorsque de nouvelles lois étaient adoptées, il était difficile de les faire respecter car les personnes qui devaient s’y conformer n’avaient pas participé à leur élaboration. » Une autre vocation de l’initiative « eTrade for Women » est la formation d’associations de femmes créant des entreprises dans le domaine du numérique. Cela a été vraiment déterminant pour Armelle Koffi, fondatrice et ingénieure-projet de ORA Technologies et Multimedia en Côte d’Ivoire. « L’association m’aide déjà par des formations qui correspondent à mes besoins actuels », a-t-elle indiqué. « J’ai accès à un réseau de femmes venant de différents pays et à des partenariats, et je peux aujourd’hui proposer mes services à un public plus large. »

« Si l’on réunit tous les acteurs concernés autour de la table, il est ensuite plus facile de mettre en œuvre de nouvelles mesures car elles ont déjà été discutées et approuvées », a indiqué la « porte-drapeau » pour l’Afrique de l’Ouest Patricia Zoundi Yao, fondatrice et directrice générale de QuickCash en Côte d’Ivoire. « Par le passé, lorsque de nouvelles lois étaient adoptées, il était difficile de les faire respecter car les personnes qui devaient s’y conformer n’avaient pas participé à leur élaboration. »
Armelle Koffi, fondatrice et ingénieure-projet de ORA Technologies et Multimedia en Côte d’Ivoire.  
        

Les membres de « eTrade for all » réalisent également, chacun de leur côté ou en collaboration, des évaluations dans le but de fournir un soutien plus cohérent et plus efficace. Plusieurs partenaires établissent également un diagnostic de certains aspects de la préparation des pays au numérique. L’Union postale universelle évalue par exemple la préparation opérationnelle du système postal au regard du commerce électronique ; le Centre du commerce international étudie comment donner un coup d’accélérateur au commerce électronique auprès des petites et moyennes entreprises ; de son côté, la Banque mondiale procède à des évaluations du développement de l’économie numérique pays par pays. Le fait de partager des informations sur les produits élaborés par chaque organisation et d’étudier, le cas échéant, les synergies permet de réduire le risque de duplication des travaux (par exemple la réalisation d’évaluations similaires dans les mêmes pays) et de multiplier les possibilités de collaboration. Les évaluations de la préparation au commerce électronique sont d’ores et déjà effectuées conjointement par plusieurs partenaires de l’initiative « eTrade for all », dont Consumers International, le Centre du commerce international, la Commission des Nations Unies pour le droit commercial international et l’Union postale universelle.

Les recommandations contenues dans ces évaluations sont comme un florilège d’actions publiques auxquelles les partenaires de l’initiative ou d’autres organisations, dont les acteurs bilatéraux de la coopération pour le développement, peuvent apporter leur soutien. Ce soutien peut aussi être apporté aux efforts déployés à l’échelle régionale. En 2021, par exemple, la CNUCED, le Fonds d’équipement des Nations Unies et le Programme des Nations Unies pour le développement ont élaboré conjointement le programme PDEP (Pacific Digital Economy Programme), avec le soutien du gouvernement australien4. De même, les évaluations effectuées pour les pays africains sont aujourd’hui utilisées pour promouvoir les stratégies de déploiement du commerce électronique au sein de la Communauté d’Afrique de l’Est et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest. Dans l’idéal, tout pays africain qui le souhaite devrait pouvoir tirer parti de ces évaluations dans la mesure où elles fourniront probablement des éléments très utiles pour les discussions menées dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine. En 2021, seuls 14 pays africains avaient fait l’objet d’une évaluation de la préparation au commerce électronique.

À l’avenir, la coordination et la collaboration dans le domaine de l’utilisation du numérique au service du développement devront être sensiblement intensifiées et améliorées. Il arrive encore que plusieurs organisations d’aide au développement approchent le même pays et lui proposent une aide similaire. Ce n’est pas une façon très rationnelle d’utiliser l’argent des contribuables et cela crée des lourdeurs pour les autorités du pays bénéficiaire, qui doivent gérer des relations avec de nombreux partenaires. L’initiative « eTrade for all », qui met l’accent sur le partage des informations pour tirer parti des atouts de chacun des acteurs, a permis d’améliorer la compréhension mutuelle du rôle joué par chaque partenaire et des possibilités de réaliser des synergies. Sans elle, le programme PDEP aurait par exemple eu peu de chances de voir le jour. Le processus n’en est toutefois qu’à ses débuts. Les grandes priorités pour l’avenir sont notamment d’améliorer encore la transparence et d’étudier les possibilités de mettre en œuvre des projets faisant intervenir plusieurs partenaires. Les nouveaux bureaux du Coordonnateur résident des Nations Unies pourraient en outre contribuer à une meilleure coordination au sein des pays. Pour être efficace, la collaboration nécessite un climat de confiance, des ressources et une ouverture au changement. Si elle se passe bien, elle peut donner de meilleurs résultats.

Références

[8] CNUCED (2021), COVID-19 and E-Commerce: A Global Review, Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, Genève, https://unctad.org/system/files/official-document/dtlstict2020d13_en.pdf.

[4] CNUCED (2021), Digital Economy Report 2021 – Cross-border Data Flows and Development: For Whom the Data Flow, Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, Genève, https://unctad.org/system/files/official-document/der2021_en.pdf.

[6] CNUCED (2021), E-Commerce and Digital Economy Programme Year in Review 2020: Facilitating Inclusive Digital Economies in Challenging Times, Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, Genève, https://unctad.org/system/files/official-document/dtlstictinf2021d2_en.pdf.

[1] CNUCED (2021), « Estimates of global e-commerce 2019 and preliminary assessment of COVID-19 impact on online retail 2020 », UNCTAD Technical Notes on ICT for Development, n° 18, Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, Genève, https://unctad.org/system/files/official-document/tn_unctad_ict4d18_en.pdf.

[5] CNUCED (2021), « The UNCTAD B2C E-commerce Index 2020: Spotlight on Latin America and the Caribbean », UNCTAD Technical Notes on ICT for Development, n° 17, Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, Genève, https://unctad.org/system/files/official-document/tn_unctad_ict4d17_en.pdf.

[10] CNUCED (2020), Fast-tracking Implementation of eTrade Readiness Assessments, Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, Genève, https://unctad.org/system/files/official-document/dtlstict2020d9_en.pdf.

[7] CNUCED (2019), Digital Economy Report 2019 – Value Creation and Capture: Implications for Developing Countries, Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement, Genève, https://unctad.org/system/files/official-document/der2019_en.pdf.

[9] CNUCED (s.d.), The UNCTAD Cyberlaw Tracker, https://unctad.org/topic/ecommerce-and-digital-economy/ecommerce-law-reform/summary-adoption-e-commerce-legislation-worldwide.

[2] Globe Newswire (2018), « Cisco predicts more IP traffic in the next five years than in the history of the Internet », Globe Newswire, https://www.bloomberg.com/press-releases/2018-11-27/cisco-cisco-predicts-more-ip-traffic-in-the-next-five-years-than-in-the-history-of-the-internet.

[3] TeleGeography (2021), The State of the Network: 2021 Edition, TeleGeography, https://www2.telegeography.com/hubfs/assets/Ebooks/state-of-the-network-2021.pdf.

Notes

← 1. Voir :https://www.bsigroup.com/en-GB/our-services/international-projects/transition-to-a-digital-economy-whitepaper.

← 2. Toutes les évaluations de la préparation des pays au commerce électronique effectuées à ce jour sont disponibles à l’adresse suivante : https://unctad.org/topic/ecommerce-and-digital-economy/etrade-readiness-assessments-of-LDCs.

← 3. Les sept domaines d’action publique recensés par l’initiative « eTrade for all » sont présentés à la page suivante : https://etradeforall.org/fr/qui-sommes-nous/domaines-cles-de-politique-publique/.

← 4. Pour plus d’informations, voir : https://unctad.org/news/un-agencies-join-forces-support-inclusive-digital-economies-pacific.

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