Indicateur B5. Quel est le profil des diplômés de l’enseignement tertiaire ?

L’enseignement tertiaire a fortement évolué au cours des 20 dernières années dans les pays de l’OCDE. L’effectif d’étudiants et de diplômés s’est internationalisé et féminisé et les domaines d’études choisis ont évolué. Ce sont peut-être des préoccupations relatives à la compétitivité dans l’économie mondialisée et sur le marché du travail ou encore les intérêts et les priorités du nombre croissant d’étudiants qui sont à l’origine de ces changements.

Le taux d’obtention d’un premier diplôme tertiaire est un indicateur du nombre de jeunes diplômés de ce niveau d’enseignement qui feront vraisemblablement leur entrée sur le marché du travail avant l’âge de 30 ans. Dans les pays de l’OCDE, on estime qu’en moyenne, 42 % des jeunes seront diplômés pour la première fois de l’enseignement tertiaire avant l’âge de 30 ans si les taux actuels d’obtention d’un diplôme restent constants. Ce pourcentage ne représente que 10 % au Luxembourg (mais est faussé par le pourcentage élevé de diplômés du deuxième cycle de l’enseignement secondaire en formation tertiaire à l’étranger) et atteint 73 % en Australie. En 2019, la plupart des premiers diplômes tertiaires ont été délivrés à l’issue d’une licence, ou formation équivalente. Dans les pays de l’OCDE, l’effectif diplômé pour la première fois de l’enseignement tertiaire se répartit en moyenne comme suit : 76 % en licence, 8 % en master, ou formation équivalente, et 16 % en formation de cycle court. L’Autriche fait vraiment figure d’exception : 47 % des diplômés ont opté pour une formation de cycle court à leur entrée dans l’enseignement tertiaire (voir le Tableau B5.1).

Les étudiants en mobilité internationale (voir la section « Définitions » en fin d’indicateur) peuvent avoir un impact important sur les taux d’obtention d’un diplôme, car ils gonflent artificiellement les estimations de taux nationaux. La différence de taux d’obtention d’un premier diplôme tertiaire peut être importante dans les pays qui accueillent de nombreux étudiants en mobilité internationale, comme en Australie où ces étudiants constituent 49 % de l’effectif diplômé pour la première fois et où le taux chute après déduction de leur pourcentage, passant de 73 % à 37 % (voir le Tableau B5.1).

Dans les pays de l’OCDE, on estime qu’en moyenne, 38 % des jeunes adultes seront diplômés de l’enseignement tertiaire avant l’âge de 30 ans (hors étudiants en mobilité internationale). La différence de pourcentage varie toutefois fortement entre les femmes et les hommes : 46 % des femmes devraient être diplômées de l’enseignement tertiaire avant l’âge de 30 ans, contre seulement 31 % d’hommes. Le taux d’obtention d’un premier diplôme tertiaire est nettement moins élevé chez les hommes, où il est inférieur à 50 %, que chez les femmes dans tous les pays dont les données sont disponibles. La différence de pourcentage entre les femmes et les hommes varie sensiblement entre les pays : elle est supérieure à 20 points de pourcentage en Lettonie, en Lituanie et en Slovénie, mais égale ou inférieure à 10 points de pourcentage en Allemagne, en Hongrie, aux Pays-Bas et en Suisse (voir le Graphique B5.1)

Plusieurs raisons expliquent cette surreprésentation des femmes dans l’effectif diplômé de l’enseignement tertiaire. L’évolution de l’offre de formations dans l’enseignement supérieur et la valeur sociale d’un diplôme universitaire ont pu influer sur le choix des jeunes femmes. Chez les jeunes, les femmes ont plus à gagner que les hommes sur le marché du travail après des études tertiaires tant sur le plan de l’emploi que de la rémunération, de sorte que l’enseignement tertiaire peut être plus attrayant pour elles (OECD, 2021[2])

La répartition des diplômés entre les domaines d’études dépend de plusieurs facteurs, dont la popularité relative des domaines auprès des étudiants, la capacité d’accueil des universités et autres établissements d’enseignement supérieur et de la structure, propre à chaque pays, de délivrance des diplômes dans les diverses disciplines. Des différences marquées entre les sexes contribuent aussi à expliquer la variation de l’effectif diplômé entre les domaines d’études.

L’effectif diplômé est à dominante plus masculine en sciences, en technologie, en ingénierie et en mathématiques (STIM) dans 34 des 43 pays dont les données sont disponibles, mais à dominante plus féminine en commerce, en administration et en droit (dans 27 pays sur 43). Le deuxième domaine d’études le plus courant est le commerce, l’administration et le droit chez les hommes (dans 9 pays) et la santé et la protection sociale chez les femmes (dans 12 pays). Les tendances varient dans certains pays. Le pourcentage de diplômées est le plus élevé dans l’éducation en Argentine et en Indonésie, dans les sciences sociales, le journalisme et l’information en Inde (un tiers environ des diplômées) et dans les lettres et arts en Italie (voir le Tableau B5.2).

Les stéréotypes sexistes sur les professions et les fonctions et les rôles dévolus aux hommes et aux femmes dans la vie privée et professionnelle peuvent expliquer les aspirations différentes des garçons et des filles et intervenir dans des décisions qui perpétuent les différences dans le choix des études et des carrières (OCDE, 2016[3]).

Pour les jeunes en formation dans l’enseignement tertiaire, étudier à l’étranger est une expérience distinctive majeure ; les responsables politiques s’intéressent de plus en plus à la mobilité internationale des étudiants depuis quelques années (voir l’indicateur B6).

Dans les pays de l’OCDE, 9 % des étudiants diplômés pour la première fois de l’enseignement tertiaire en 2019 ont fait des études à l’étranger. Ce pourcentage d’étudiants en mobilité internationale diplômés pour la première fois est inférieur ou égal à 5 % dans dix des pays l’OCDE dont les données sont disponibles et inférieurs à 2 % au Chili et en Turquie. Il est par contre supérieur à 20 % en Australie, au Luxembourg et en Nouvelle-Zélande.

En moyenne, hommes et femmes sont aussi susceptibles de faire des études tertiaires à l’étranger dans les pays de l’OCDE. Des écarts importants s’observent toutefois entre les pays. Le pourcentage d’étudiants diplômés pour la première fois de l’enseignement tertiaire après des études à l’étranger est plus élevé chez les hommes que chez les femmes dans 10 des 29 pays de l’OCDE dont les données sont disponibles. Il est au moins 5 points de pourcentage plus élevé en Australie, en Estonie, en Lettonie, en Nouvelle-Zélande et en Suède. Le Luxembourg est le seul pays où la différence de pourcentage est importante (9 points de pourcentage) et favorable aux femmes (voir le Graphique B5.2).

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1. Année de référence : 2018.

Les pays sont classés par ordre décroissant du pourcentage d'étudiantes en mobilité internationale parmi les titulaires d'un premier diplôme de l'enseignement tertiaire en 2019.

Source : OCDE/ISU/Eurostat (2021). Consulter la section « Source » pour tout complément d’information et l’annexe 3 pour les remarques (https://www.oecd.org/education/education-at-a-glance/EAG2021_Annex3_ChapterB.pdf).

Les domaines d’études que les étudiants en mobilité internationale choisissent peuvent en partie expliquer ces différences. La santé et l’éducation, qui sont à dominante féminine dans l’ensemble, attirent moins d’étudiants en mobilité internationale (15 %, contre 25 % tous étudiants confondus). En revanche, 29 % des étudiants en mobilité internationale, contre 24 % tous étudiants confondus, sont diplômés en STIM, un domaine à dominante masculine. La mobilité internationale des étudiants peut compenser des taux nationaux d’obtention d’un diplôme moins élevés dans certains domaines d’études. En Suède, un étudiant sur deux a été diplômé en STIM en 2019 dans l’effectif d’étudiants en mobilité internationale, contre moins d’un tiers de l’ensemble des étudiants (OCDE, 2021[4]).

Les différences qui s’observent entre les régions dans les possibilités offertes aux hommes et aux femmes de partir étudier à l’étranger influent aussi sur la variation du pourcentage d’étudiants en mobilité internationale diplômés entre les sexes. En 2019, les femmes étaient surreprésentées dans l’effectif de diplômés du tertiaire après des études à l’étranger originaires d’Amérique du Nord dans 25 pays de l’OCDE, et originaires d’Europe dans 31 pays de l’OCDE. Ce n’est le cas que dans 13 pays pour les diplômés originaires d’Asie. L’effectif d’étudiants en mobilité internationale diplômés originaires d’Asie est proche de la parité en Australie et en Nouvelle-Zélande. Par conséquent, dans ces deux pays où plus de 80 % des étudiants en mobilité internationale proviennent d’Asie, et où les femmes sont sur-représentées dans les effectifs d’étudiants nationaux, le pourcentage d’hommes parmi les diplômés internationaux (voir le Graphique B5.1) (OCDE, 2021[4]).

La pandémie de COVID-19 a eu impact immédiat sur la mobilité internationale des étudiants. Les systèmes d’enseignement supérieur ont été touchés à des degrés divers, selon le pourcentage d’étudiants en mobilité internationale et leur origine. L’effectif d’étudiants étrangers ou en mobilité internationale a augmenté dans certains pays, mais a fortement diminué dans d’autres. Les politiques nationales relatives à l’admission des étudiants en mobilité internationale ont été modifiées lors de l’année académique 2020/21 dans un peu moins de la moitié des 29 pays qui ont répondu à l’enquête spéciale que l’OCDE a menée en collaboration avec l’Institut de statistique de l’UNESCO, l’UNICEF et la Banque mondiale (OECD, 2021[1]). Ces modifications devraient influer sur la mobilité internationale des diplômés à l’avenir.

Ces dernières décennies, le nombre d’établissements privés a augmenté pour répondre à la demande croissante d’enseignement tertiaire ; les étudiants ont donc parfois la possibilité de choisir entre le réseau public ou privé d’enseignement. Leur choix peut dépendre entre autres de considérations financières, par exemple des conditions d’octroi de bourses ou d’allocations, ainsi que de l’offre de formations, mais aussi la plus grande flexibilité et l’autonomie dans la conception des programmes de cours et l’affectation des ressources.

La répartition des diplômés par type d’établissements varie sensiblement entre les pays de l’OCDE, mais la part des établissements publics est en moyenne plus élevée. Dans 18 pays de l’OCDE, membres pour la plupart de l’Union européenne (UE), 80 % au moins des diplômés ont fréquenté un établissement public en licence, en master et en premier master de type long. À l’inverse, moins de la moitié des diplômés ont fait leurs études dans un établissement public en licence dans sept pays, dont cinq ne sont pas membres de l’UE.

Dans quelques pays, la majorité des diplômés de l’enseignement tertiaire, quel que soit le niveau, ont fréquenté un établissement privé. Au Royaume-Uni, l’enseignement tertiaire est du seul ressort d’établissements privés, qui sont toutefois en majorité subventionnés par l’État. En Belgique, au Chili, en Corée et en Israël, 50 % au moins des étudiants diplômés de d’une licence, d’un master ou d’un doctorat en 2019 ont fait leurs études dans un établissement privé. .En Colombie et au Costa Rica, c’est aussi le cas au niveau licence et master mais pas au niveau du doctorat.

L’effectif de diplômés du réseau public varie sensiblement selon le niveau d’enseignement dans d’autres pays. Dans l’enseignement tertiaire, la demande croissante et variée de profils diplômés de niveaux d’enseignement supérieurs, la multiplication des prestataires privés et le fait que des gouvernements cherchent à préserver des cursus sectoriels peuvent influer sur l’offre de formations. Dans les pays de l’OCDE, le pourcentage d’étudiants diplômés dans le réseau public s’élève en moyenne à 66 % en licence, à 68 % en master et à 84 % en premier master de type long. Ces pourcentages moyens sont plus élevés (76 %, 81 % et 87 %, respectivement) dans 22 des pays membres de l’UE (UE22) par rapport à la moyenne de l’OCDE, où les établissements publics tendent à dominer dans l’enseignement tertiaire (voir le Graphique B5.3). Au Brésil, en Finlande et au Japon, la majorité des étudiants sont diplômés dans le réseau privé en licence, mais le réseau public l’emporte en master et en doctorat. En Finlande, un peu plus d’un tiers seulement des étudiants sont diplômés dans le réseau public en licence, mais 83 % le sont en master, dont 100 % en premier master de type long. Au Japon, 78 % des diplômés en licence le sont dans des établissements privés, tandis que 56 % des diplômés en master et 76 % en doctorat le sont dans des établissements publics (voir le Tableau B5.3).

La crise du COVID-19 a amené la plupart des pays à consentir des efforts budgétaires sans précédent, et le secteur de la santé, la protection de l’emploi et la relance économique promettent d’être de gros postes de dépenses dans les prochaines années, au risque de contenir le budget de l’éducation. Le budget public devrait vraisemblablement être préservé dans l’enseignement fondamental (préprimaire, primaire et secondaire), mais des coupes budgétaires ne sont pas à exclure aux niveaux d’enseignement supérieurs. De plus, la diminution des aides publiques octroyées aux étudiants ne pourra vraisemblablement pas être compensée par une augmentation des frais de scolarité dans la mesure où le revenu des ménages a également souffert de la crise du COVID-19. Réduire les taux d’encadrement et les aides ciblées aux étudiants pourrait nuire à la qualité de l’enseignement et de l’apprentissage aux niveaux d’enseignement supérieurs et accroître les taux de décrochage, en particulier chez les étudiants défavorisés (OECD, 2021[1]).

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Les pays sont classés par ordre décroissant du pourcentage de diplômés d’une licence ou niveau équivalent en 2019.

Source : OCDE/ISU/Eurostat (2021), tableau B5.3. Consulter la section « Source » pour tout complément d’information et l’annexe 3 pour les remarques (https://www.oecd.org/education/education-at-a-glance/EAG2021_Annex3_ChapterB.pdf).

Par diplômés (premier diplôme), on entend les étudiants qui ont réussi une première formation d’un niveau d’enseignement donné durant la période de référence. Les étudiants titulaires de plusieurs diplômes sont donc comptabilisés parmi les diplômés chaque année, mais ne le sont qu’une seule fois dans le taux d’obtention d’un premier diplôme.

Par diplômés de l’enseignement tertiaire (premier diplôme), on entend les étudiants qui ont réussi une première formation d’un niveau de l’enseignement tertiaire, quel qu’il soit.

Les étudiants en mobilité internationale sont ceux qui ont quitté leur pays d’origine pour se rendre dans un autre pays dans l’intention d’y suivre des études. Dans la majorité des pays, les étudiants en mobilité internationale sont considérés comme étant diplômés pour la première fois, quel que soit leur parcours antérieur dans d’autres pays. Dans les analyses présentées ici, c’est le nombre d’étudiants étrangers qui a été retenu comme indicateur dans les pays dans l’incapacité de fournir les chiffres relatifs aux étudiants en mobilité internationale. Les étudiants étrangers sont ceux qui ne sont pas ressortissants du pays dans lequel ils font leurs études (pour plus de détails, voir l’annexe 3 [www.oecd.org/education/education-at-a-glance-19991487.htm]).

Le taux net d’obtention d’un diplôme correspond au pourcentage de l’effectif d’un âge donné qui sera diplômé d’un niveau d’enseignement sur la base des taux actuels d’obtention d’un diplôme.

Par âge typique, on entend l’âge au début de la dernière année académique du niveau d’enseignement considéré, à l’issue de laquelle le diplôme est décerné.

Sauf mention contraire, les taux d’obtention d’un diplôme sont nets (ils correspondent à la somme des taux d’obtention d’un diplôme par âge) jusqu’à un âge donné. Le taux net d’obtention d’un diplôme à un âge donné est calculé comme suit : le nombre de diplômés (premier diplôme) de cet âge à chaque niveau de l’enseignement tertiaire est divisé par l’effectif total de la population du même âge. La somme des taux nets d’obtention d’un diplôme correspond à la somme des taux d’obtention d’un diplôme à chaque âge, jusqu’à un certain âge. Le taux d’obtention d’un diplôme est une estimation de la probabilité de réussir des études tertiaires pour la première fois avant un certain âge si les tendances actuelles se maintiennent. Cet âge correspond à l’âge maximum d’obtention d’un diplôme tertiaire. Cet âge maximum est fixé à 30 ans dans l’enseignement tertiaire de cycle court, en licence et en premier cursus tertiaire et 35 ans en master et en doctorat. Le taux d’obtention d’un diplôme avant l’âge typique est calculé uniquement si la part des diplômés dont l’âge est inconnu se trouve sous le seuil qualitatif de 10 %. Les diplômés d’âge inconnu sont exclus du calcul de ces indicateurs ce qui peut induire une légère sous-estimation de ce taux, en particulier lorsque cette part est proche du seuil.

Les taux bruts d’obtention d’un diplôme sont utilisés en l’absence de données par groupe d’âge et dans l’hypothèse où l’âge moyen d’obtention d’un diplôme est nettement inférieur à celui retenu dans cet indicateur. Dans ce cas, le nombre de diplômés dont l’âge est inconnu est divisé par la population ayant l’âge typique d’obtention de ce diplôme (voir l’annexe 1).

L’âge moyen des étudiants est calculé à la date du 1er janvier dans les pays où l’année académique débute au deuxième semestre de l’année civile et à la date du 1er juillet dans ceux où elle débute au premier semestre. Par voie de conséquence, l’âge moyen peut être biaisé de 6 mois maximum, à la hausse chez les nouveaux inscrits et à la baisse chez les diplômés (premier diplôme).

Les taux d’obtention d’un diplôme sont sensibles aux changements intervenus dans le système d’éducation, par exemple l’introduction de nouvelles formations ou l’afflux d’étudiants en mobilité internationale. Les taux peuvent être très élevés en cas d’afflux imprévus. Cet indicateur rend également compte du pourcentage de diplômés (premier diplôme) avant l’âge maximum en plus du taux d’obtention d’un diplôme afin de fournir des informations contextuelles sur la pertinence de l’âge maximum dans chaque pays.

Les étudiants en mobilité internationale représentent une part importante de l’effectif total d’étudiants dans certains pays ; ils peuvent gonfler artificiellement le pourcentage de jeunes qui seront vraisemblablement diplômés de l’enseignement tertiaire. Les estimations de l’effectif diplômé de l’enseignement tertiaire peuvent varier fortement selon que les étudiants en mobilité internationale sont ou non pris en compte.

Voir le Guide de l’OCDE pour l’établissement de statistiques internationalement comparables dans le domaine de l’éducation (OCDE, 2018[5]) pour de plus amples informations. Voir les notes spécifiques aux pays à l’annexe 3 (https://www.oecd.org/education/education-at-a-glance/EAG2021_Annex3_ChapterB.pdf).

Les données se rapportent à l’année académique 2018/19 et proviennent de l’exercice UNESCO-ISU/OCDE/Eurostat de collecte de données statistiques sur l’éducation réalisé par l’OCDE en 2020 (voir l’annexe 3 [https://www.oecd.org/education/education-at-a-glance/EAG2021_Annex3_ChapterB.pdf] pour plus de détails).

References

[4] OCDE (2021), Base de données de Regards sur l’éducation, https://stats.oecd.org/ (consulté le 6 juillet 2018).

[5] OCDE (2018), Guide de l’OCDE pour l’établissement de statistiques internationalement comparables dans le domaine de l’éducation, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/9789264279889-en.

[3] OCDE (2016), « Domaines d’études et marché du travail : où en sont les hommes et les femmes ? », Les indicateurs de l’éducation à la loupe, n° 45, Éditions OCDE, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/5jlpgh1gb824-fr.

[1] OECD (2021), The state of higher education : One year in to the COVID-19 pandemic, OECD Publishing, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/83c41957-en.

[2] OECD (2021), « Why do more young women than men go on to tertiary education? », Education Indicators in Focus, n° 79, OECD Publishing, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/6f7209d1-en.

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