Indicateur C2. Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l’éducation ?

Tous les pays membres et partenaires de l’OCDE investissent une part importante de leurs ressources nationales dans l’éducation. En 2017, les pays de l’OCDE ont consacré en moyenne 4.9 % de leur PIB au financement de leurs établissements d’enseignement, de l’enseignement primaire à l’enseignement tertiaire (voir le Tableau C2.1).

En pourcentage du PIB, les dépenses au titre des établissements d’enseignement, de l’enseignement primaire à l’enseignement tertiaire, représentent 6 % en Australie, au Chili, aux États-Unis, en Israël, en Norvège, en Nouvelle-Zélande et au Royaume-Uni, mais sont de l’ordre de 3 à 4 % en Fédération de Russie, en Hongrie, en Irlande, en Italie, au Japon, en Lettonie, en Lituanie, au Luxembourg, en République slovaque et en République tchèque (voir le Graphique C2.1 et le Tableau C2.1). De nombreux facteurs influent sur la place relative des pays dans le classement selon cet indicateur, notamment la taille relative de l’effectif scolarisé, la durée des études et l’affectation des fonds. Dans l’enseignement tertiaire, les dépenses peuvent être influencées par les critères d’admission à des niveaux supérieurs d’enseignement, la taille de l’effectif scolarisé dans chaque secteur et domaine d’études, ainsi que l’ampleur de l’investissement dans des activités de recherche.

Dans tous les pays membres et partenaires de l’OCDE dont les données sont disponibles, la part de la richesse nationale consacrée à l’enseignement non tertiaire (enseignement primaire, secondaire et post-secondaire non tertiaire) est nettement supérieure à celle consacrée à l’enseignement tertiaire (voir le Tableau C2.1 et le Graphique C2.1). En moyenne, dans les pays de l’OCDE, 71 % des dépenses au titre des établissements d’enseignement, soit 3.5 % du PIB, concernent les niveaux d’enseignement non tertiaire, en raison des taux élevés de scolarisation à ces niveaux. La part du budget alloué aux établissements d’enseignement non tertiaire représente au moins 4.5 % du PIB en Colombie, en Islande, en Israël, en Norvège et en Nouvelle-Zélande, mais environ 2.4 % du PIB en Lituanie et en Fédération de Russie (voir le Tableau C2.1).

En moyenne, dans les pays de l’OCDE, les dépenses au titre des établissements d’enseignement représentent 1.5 % du PIB dans l’enseignement primaire et 1 % du PIB dans le premier cycle de l’enseignement secondaire. La part des dépenses au titre des établissements d’enseignement est toutefois fortement influencée par la composition démographique des pays et par la durée des études à chaque niveau d’enseignement. Les pays où les taux de fécondité sont relativement peu élevés sont moins susceptibles de consacrer une plus grande part de leur richesse à l’enseignement primaire et au premier cycle de l’enseignement secondaire. Il apparaît d’ailleurs que les pays qui investissent 1 % de leur PIB ou moins dans l’enseignement primaire tendent à afficher des taux de natalité peu élevés (c'est le cas de l’Allemagne, l’Autriche, la Hongrie, l'Italie, la Lituanie, la République slovaque et la République tchèque, voir le Tableau C2.1). Dans le deuxième cycle de l’enseignement secondaire, les dépenses représentent entre 0.5 % du PIB en filière professionnelle et 0.6 % en filière générale, en moyenne dans les pays de l’OCDE. Ces chiffres varient toutefois fortement entre les pays. Environ un tiers des pays dont les données sont disponibles consacrent une part plus élevée de leur PIB à la filière professionnelle qu’à la filière générale ; les différences les plus importantes s’observent en Finlande, aux Pays-Bas et en République tchèque (0.5-0.6 points de pourcentage) (voir le Tableau C2.1).

L’enseignement tertiaire représente en moyenne 1.4 % du PIB des pays. À ce niveau d’enseignement, les différents parcours des étudiants, les filières d'enseignement, la durée des études, l’organisation de l’enseignement et le budget alloué à la recherche et au développement (R-D) sont autant de facteurs qui influent sur le niveau des dépenses. En 2017, ce sont l'Australie, le Canada, le Chili, les États-Unis, la Norvège et le Royaume-Uni qui ont consacré la part la plus élevée de leur PIB à l’enseignement tertiaire (entre 2 et 3 %). Sans surprise, ces pays comptent aussi parmi ceux où la part privée du financement de ce niveau d’enseignement est la plus élevée après contrôle des transferts public-privé (entre 1.1 et 1.7 % du PIB ; voir le Tableau C2.2 et le Graphique C2.2).

Les dépenses de R-D dans les établissements d’enseignement tertiaire peuvent représenter une part importante du budget total de ce niveau d’enseignement ; leur ampleur dépend de la structure des activités de recherche subventionnées par les fonds publics ainsi que des infrastructures et des équipements disponibles. En Australie, en Finlande, en Norvège, aux Pays-Bas, en Suède ainsi que dans les autres pays de l’OCDE où la majeure partie des activités de recherche subventionnées par l'État s’effectuent dans les établissements d’enseignement tertiaire, les dépenses de R-D sont plus importantes que dans les pays où la majeure partie de ces activités s’effectuent dans d’autres structures. Si les activités de R-D sont exclues, les dépenses au titre des établissements d’enseignement diminuent en pourcentage du PIB de 0.4 point de pourcentage en moyenne dans les pays de l’OCDE ; cette diminution représente au moins 0.7 point de pourcentage au Danemark, en Finlande, en Norvège et en Suède (voir le Tableau C2.1).

Le budget de l’éducation reste essentiellement constitué de fonds publics dans les pays de l’OCDE. En moyenne, les dépenses publiques au titre des établissements d’enseignement, de l’enseignement primaire à l’enseignement tertiaire, représentent (après transferts au secteur privé) 4.1 % du PIB. Toutefois, ce pourcentage varie fortement entre les pays dont les données sont disponibles. L’investissement public direct représente entre 2.8 et 3.2 % du PIB en Fédération de Russie, en Grèce, en Hongrie, en Irlande, au Japon, en Lituanie, au Luxembourg, en République slovaque et en République tchèque, mais entre 5.0 et 6.4 % du PIB en Belgique, au Brésil, en Finlande, en Islande, en Norvège et en Suède (voir le Tableau C2.2).

De l’enseignement primaire à l’enseignement tertiaire, les transferts publics aux ménages (tels que les bourses et les prêts d’études destinés à financer les frais de scolarité et autres) et les subventions publiques au titre de l’éducation à d’autres entités privées (telles que des entreprises ou des organisations syndicales qui proposent des formations sous contrat d’apprentissage par exemple) représentent en moyenne 0.2 % du PIB dans les pays de l’OCDE ; ils représentent plus de 0.3 % du PIB en Australie, au Chili et en Nouvelle-Zélande et atteignent 0.6 % du PIB au Royaume-Uni (voir le graphique C2.2), ce qui s'explique principalement par les transferts publics dans l'enseignement tertiaire.

L’austérité budgétaire conduit de nombreux systèmes d’éducation à mettre davantage le secteur privé à contribution, en particulier pour financer l'enseignement tertiaire. Après transferts, les financements privés au titre des établissements d'enseignement, de l'enseignement primaire à l'enseignement tertiaire, représentent en moyenne 0.8 % du PIB. Les transferts directs du secteur privé aux établissements d’enseignement varient toutefois sensiblement entre les pays : ils ne représentent pas plus de 0.1 % du PIB au Danemark, en Finlande et au Luxembourg, mais atteignent au moins 2 % du PIB en Australie, au Chili, aux États-Unis et au Royaume-Uni (voir le Graphique C2.2).

L’investissement privé est peu élevé dans l'enseignement non tertiaire : il représente en moyenne 0.3 % du PIB dans les pays de l'OCDE après contrôle des transferts public-privé, mais au moins 0.7 % du PIB en Australie, en Colombie, en Nouvelle-Zélande, au Royaume-Uni et en Turquie, les pays où la part relative des fonds privés est la plus élevée dans l’enseignement non tertiaire. Dans l'enseignement tertiaire, l'investissement privé prend plus d'importance et représente en moyenne 0.4 % du PIB après transferts. Dans certains pays, les sources privées contribuent davantage que dans d'autres, même avant prise en compte des transferts publics aux ménages. Dans des pays comme l'Australie, le Chili, la Corée, la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni, les dépenses privées correspondent à au moins 0.6 % du PIB, avant transferts. Après prise en compte des transferts publics, les investissements privés représentent plus de 1 % du PIB dans ces pays. Au Chili et aux États-Unis, les dépenses privées représentent plus de 1.7 % du PIB, soit le pourcentage le plus élevé parmi tous les pays de l'OCDE (voir le Tableau C2.2 et le Graphique C2.2).

Entre 2012 et 2017, les pays de l'OCDE ont augmenté les dépenses publiques au titre des établissements d'enseignement à tous les niveaux d'enseignement, mais à un rythme plus lent que la croissance moyenne du PIB (tableau C2.4, disponible en ligne, et graphique C2.3).). Cette tendance se vérifie également lorsque des sources privées sont prises en compte. Toutes sources confondues, les dépenses totales au titre de l'enseignement primaire à l’enseignement tertiaire ont augmenté de 6.6 % en moyenne entre 2012 et 2017 dans les pays de l’OCDE, mais les dépenses totales rapportées au PIB ont diminué de 5.2 %, essentiellement à cause du rythme plus soutenu auquel le PIB a augmenté pendant cette période (13.1 %) (voir le tableau C2.3). Les dépenses totales au titre des établissements d’enseignement ont diminué en pourcentage du PIB dans plus de deux tiers des pays membres et partenaires de l'OCDE. Les ajustements négatifs les plus importants ont été enregistrés en Colombie, en République tchèque, en Irlande, en Lituanie, au Luxembourg, au Mexique et en Slovénie avec une augmentation du PIB de 10 % et une réduction des dépenses totales au titre de l’éducation durant la même période. Par contraste, la Norvège fait figure exception avec une augmentation de 17 % des dépenses totales au titre de l’éducation, supérieure à l'augmentation significative de son PIB (voir le Tableau C2.3).

L'évolution des dépenses au titre des différents niveaux d'enseignement a suivi la même tendance entre 2012 et 2017. Les dépenses au titre des établissements d'enseignement, dans les niveaux de l’enseignement non tertiaire, ont diminué de 3.9 % en pourcentage du PIB. Ces moyennes occultent toutefois des variations importantes dans certains pays. Durant cette période, les dépenses au titre des établissements d’enseignement non tertiaire ont par exemple augmenté d’au moins 6 % en pourcentage du PIB en Fédération de Russie et en Suède. Durant la même période, les plus fortes augmentations des dépenses au titre de ces niveaux d’enseignement ont été enregistrées en Lituanie, au Luxembourg, au Mexique, au Portugal et en Slovénie (plus de 11 %), ce qui s'explique en grande partie par une diminution globale des dépenses publiques (voir le Tableau C2.3).

Dans un cinquième environ des pays dont les données sont disponibles, les investissements dans l’enseignement tertiaire en pourcentage du PIB ont augmenté entre 2012 et 2017, alors qu’ils ont diminué ou sont restés presque stables dans l'enseignement non tertiaire. Le Chili, le Luxembourg et le Royaume-Uni illustrent clairement cette tendance : en pourcentage du PIB, les dépenses ont augmenté de plus de 10 % dans l’enseignement tertiaire, mais elles ont diminué d'au moins 2 % dans l'enseignement non tertiaire durant cette période (voir le Tableau C2.3).

Les dépenses au titre des établissements d’enseignement correspondent aux dépenses publiques, privées et internationales au titre des entités qui fournissent des services d’éducation aux individus ou des services en rapport avec l’éducation aux individus et à d’autres établissements d’enseignement (écoles, universités et autres institutions publiques et privées).

Les dépenses publiques initiales comprennent les dépenses publiques directes au titre des établissements d’enseignement ainsi que les transferts publics au secteur privé et excluent les transferts du secteur international. Les dépenses privées initiales correspondent aux frais de scolarité et autres montants versés par les ménages aux établissements d’enseignement, déduction faite de la partie de ces sommes qui est financée par des subventions publiques. Les dépenses internationales initiales comprennent les dépenses internationales directes au titre des établissements d’enseignement (par exemple un budget de recherche accordé par une société étrangère à une université publique) et les transferts internationaux aux gouvernements.

Les dépenses publiques finales comprennent les achats publics directs de ressources d’éducation et les versements publics aux établissements d’enseignement. Les dépenses privées finales comprennent toutes les dépenses directes au titre des établissements d’enseignement (frais de scolarité et autres montants versés par les ménages aux établissements d’enseignement), qu’elles soient ou non partiellement financées par des subventions publiques. Elles incluent également les dépenses des entreprises privées au titre de la composante de pratique professionnelle dans les programmes « emploi-études » et les programmes de formation en milieu professionnel. Les dépenses internationales finales comprennent les montants directement versés par le secteur international aux établissements d’enseignement, par exemple des budgets de recherche et autres fonds internationaux versés directement aux établissements d’enseignement.

Les subventions publiques aux ménages et à d'autres entités privées incluent les transferts publics et internationaux, tels que les bourses et les aides financières aux effectifs scolarisés, ainsi que certaines subventions à d’autres entités privées. Elles correspondent donc aux transferts publics et à certains autres versements aux ménages, pour autant qu’ils financent des services d’éducation dans les établissements d’enseignement (par exemple, les bourses, les aides financières et les prêts d’études au titre des frais de scolarité). Elles incluent aussi les transferts et autres versements publics (essentiellement sous forme de subventions) à d’autres entités privées, notamment les subventions aux entreprises et aux organisations syndicales qui proposent des formations sous contrat d’apprentissages et les subventions au titre des intérêts aux institutions financières privées qui accordent des prêts d’études, etc.

Les dépenses publiques directes au titre des établissements d’enseignement couvrent les dépenses des pouvoirs publics au titre de ressources d’éducation fournies aux établissements d’enseignement ou les versements des pouvoirs publics aux établissements d’enseignement qui sont responsables de l’achat de ressources d’éducation.

Les dépenses privées (des ménages et autres entités privées) directes au titre des établissements d’enseignement comprennent les frais de scolarité et autres montants versés par le secteur privé aux établissements d’enseignement, qu’ils soient ou non partiellement financés par des subventions publiques.

Les dépenses au titre des établissements d’enseignement en pourcentage du PIB d’un niveau d’enseignement sont calculées comme suit : les dépenses totales au titre des établissements d’enseignement de ce niveau sont divisées par le PIB. Les dépenses et le PIB exprimés en devise nationale sont divisés par l’indice de parité de pouvoir d’achat (PPA) pour le PIB afin d’obtenir leur équivalent en dollars des États-Unis (USD). La conversion basée sur l’indice PPA est préférée à celle basée sur le taux de change du marché, car celui-ci subit l’influence de nombreux facteurs (taux d’intérêt, politiques commerciales, prévisions de croissance économique, etc.) sans grand rapport avec le pouvoir d’achat relatif du moment dans les différents pays de l’OCDE (voir l’annexe 2 pour davantage de précisions).

Toutes les entités qui financent l’éducation sont publiques, privées ou internationales (organismes internationaux et autres entités étrangères). Les chiffres fournis ici regroupent les dépenses publiques et internationales pour des raisons de présentation. Comme la part des dépenses internationales est relativement minime par rapport à celle des autres dépenses, inclure les dépenses internationales dans les dépenses publiques n’affecte pas l’analyse de la part des dépenses publiques.

Les dépenses au titre des biens et services d’éducation ne sont pas toutes effectuées au sein des établissements d’enseignement. Les familles peuvent par exemple acheter des fournitures et des manuels scolaires dans le commerce ou recourir aux services d’un professeur particulier en dehors des établissements d’enseignement. Dans l’enseignement tertiaire, les frais de subsistance et le manque à gagner des étudiants pendant leur formation peuvent représenter une part importante du coût de l’éducation. Toutes ces dépenses effectuées en dehors des établissements d’enseignement sont exclues de cet indicateur, même si elles font l’objet de subventions publiques. Le financement public des coûts de l’éducation en dehors des établissements d’enseignement est étudié dans les indicateurs C4 et C5.

Une partie du budget des établissements d’enseignement est consacrée aux services auxiliaires généralement proposés aux effectifs scolarisés (cantine, logement et transport). La part du coût de ces services financée par les effectifs scolarisés est également incluse dans cet indicateur.

Les dépenses au titre des établissements d’enseignement sont calculées sur la base de la comptabilité de caisse et donnent dès lors un aperçu des dépenses effectuées lors de l’année de référence. De nombreux pays mettent en place un système de prêt et de remboursement dans l’enseignement tertiaire. Les prêts publics sont pris en considération, mais les remboursements des emprunteurs privés ne le sont pas ; la contribution privée aux coûts de l’éducation peut donc être sous-estimée.

Voir le Guide de l’OCDE pour l’établissement de statistiques internationalement comparables dans le domaine de l’éducation 2018 (OCDE, 2018[1]) pour de plus amples informations. Voir les notes spécifiques aux pays à l’annexe 3 (https://doi.org/10.1787/69096873-en).

Les données se rapportent à l’année budgétaire 2017 (sauf mention contraire) et proviennent de la collecte de données statistiques sur l’éducation de l’UNESCO, de l’OCDE et d’Eurostat (UOE) réalisée en 2019 par l’OCDE (pour plus de précisions, voir l’annexe 3, https://doi.org/10.1787/69096873-en). Les données de l’Afrique du Sud, de l’Arabie saoudite, de l’Argentine, de l’Inde, de l’Indonésie et de la République populaire de Chine proviennent de l’Institut de statistique de l’UNESCO (ISU).

Les données relatives aux dépenses de 2005 à 2017 ont été mises à jour sur la base d'une enquête menée en 2019 et 2020 et ont été ajustées en fonction des méthodes et des définitions appliquées lors du dernier exercice UOE de collecte de données en date.

Référence

[1] OCDE (2018), Guide de l’OCDE pour l’établissement de statistiques internationalement comparables dans le domaine de l’éducation 2018: Concepts, normes, définitions et classifications, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/9789264305380-fr (consulté le 16 avril 2020).

Tableau C2.1 Dépenses totales au titre des établissements d’enseignement en pourcentage du PIB (2017)

Tableau C2.2 Dépenses totales au titre des établissements d’enseignement en pourcentage du PIB, selon la provenance des financements (2017)

Tableau C2.3 Indice de variation des dépenses totales au titre des établissements d’enseignement en pourcentage du PIB (2005, 2012 et 2017)

WEB Tableau C2.4 Indice de variation des dépenses publiques au titre des établissements d’enseignement en pourcentage du PIB (2005, 2012 et 2017)

StatLink: https://doi.org/10.1787/888934164446

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