Indicateur C4. Quel est le montant total des dépenses publiques d’éducation ?

Selon les chiffres de 2019, les dépenses publiques totales d’éducation représentent, de l’enseignement primaire à l’enseignement tertiaire, 10.6 % en moyenne du budget public total, tous services confondus, dans les pays de l’OCDE. Ce pourcentage varie toutefois entre les pays membres et partenaires de l’OCDE : il est de l’ordre de 7 % en Grèce, la Hongrie et l’Italie et de 17 % au Chili (voir le Tableau C4.1 et le Graphique C4.1).

Dans l’ensemble, une part considérable du budget public est allouée aux niveaux d’enseignement inférieurs à l’enseignement tertiaire selon les chiffres de 2019. Dans la plupart des pays, ainsi qu’en moyenne dans les pays de l’OCDE, l’enseignement non tertiaire (niveaux d’enseignement primaire, secondaire et post-secondaire non tertiaire) absorbe environ trois quarts du budget public total de l’enseignement primaire à l’enseignement tertiaire (soit 8 % environ du budget public total) (voir le Tableau C4.1 et le Graphique C4.1). Ce constat s’explique en grande partie par la scolarisation quasi généralisée dans l’enseignement non tertiaire (voir l’Indicateur B1), le fait que l’enseignement tertiaire dure moins longtemps que l’enseignement primaire et secondaire combinés, et le fait que, dans l’ensemble, le secteur privé contribue davantage au financement de l’enseignement tertiaire par comparaison avec les niveaux d’enseignement inférieurs dans les pays de l’OCDE.

La part du budget public total allouée à l’enseignement tertiaire varie fortement entre les pays. Dans les pays de l’OCDE, le budget public de l’enseignement tertiaire représente en moyenne 27 % du budget public total de l’enseignement primaire à l’enseignement tertiaire, y compris les dépenses en recherche et développement. Dans les pays membres et partenaires de l’OCDE, ce pourcentage est inférieur à 14 % au Luxembourg, mais passe la barre des 37 % en Autriche et au Danemark (voir le Tableau C4.1 et le Graphique C4.1). Le Luxembourg compte plus de trois quarts de ressortissants nationaux en formation tertiaire à l’étranger (voir l’Indicateur B6), ce qui explique la part peu élevée des dépenses publiques allouée à l’enseignement tertiaire.

Les statistiques sur le budget public total de l’éducation excluent généralement l’éducation des jeunes enfants (EJE), car la nature des systèmes d’EAJE varie considérablement entre les pays de l’OCDE à de nombreux égards : groupes d’âge cibles, gouvernance de structures, financement, fréquentation (à temps plein ou à temps partiel), situation (dans des centres ou établissements d’enseignement ou à domicile) (voir l’Indicateur B2). L’EJE représente en moyenne 1.7 % des dépenses publiques totales dans les pays de l’OCDE, mais ce pourcentage varie entre 0.3 % au Japon et 3.8 % au Chili. Le fait que l'organisation des systèmes d’EJE varie fortement entre les pays explique en partie cet écart important. Dans tous les pays de l’OCDE dont les données sont disponibles, sauf au Danemark et en Norvège, les dépenses au titre de l’enseignement préprimaire sont supérieures aux dépenses allouées au développement éducatif de la petite enfance (voir le Tableau C4.1, en ligne).

La taille relative des budgets publics doit être prise en considération lors de l’analyse des dépenses publiques d’éducation en pourcentage des dépenses publiques totales. Le pourcentage du PIB que représente le budget public total varie fortement entre les pays (voir le Tableau C4.1, en ligne). Selon les chiffres de 2019, les dépenses publiques totales, tous services confondus, représentent plus de 50 % du PIB dans près d’un pays sur dix dont les données sont disponibles. Que les dépenses publiques d’éducation soient élevées en pourcentage du budget public total ne signifie pas nécessairement qu’elles sont élevées aussi en pourcentage du PIB national. En Irlande par exemple, les dépenses publiques d’éducation allouées à l’enseignement primaire jusqu’à l’enseignement tertiaire, représentent 12.9 % du budget public total, un pourcentage supérieur à la moyenne de l’OCDE (10.6 %), mais sont relativement peu élevées en pourcentage du PIB (3.1 % seulement, contre 4.4 % en moyenne dans les pays de l’OCDE). Ce constat s’explique par le fait que le budget public total est relativement peu élevé en pourcentage du PIB en Irlande (24.2 %) (voir le Tableau C4.1, en ligne).

La répartition des responsabilités du financement de l’éducation entre les niveaux de l’exécutif (gouvernement central et exécutifs régionaux et locaux) est un élément important de la politique de l’éducation. Des décisions concernant le financement de l’éducation sont prises à deux niveaux de l’exécutif, celui qui libère les fonds et celui qui les dépense. Le niveau de l’exécutif qui libère les fonds décide du volume de ressources à affecter à l’éducation et des modalités d’affectation du budget. Le niveau de l’exécutif qui dépense le budget public de l’éducation dispose d’un certain pouvoir discrétionnaire sur la manière dont les fonds sont dépensés.

Le financement de l’éducation peut être principalement centralisé ou décentralisé, avec des transferts de fonds entre les différents niveaux de l’exécutif. La prise de décisions peut être ralentie si le financement est fortement centralisé et les décisions prises loin de ceux qu’elles affecteront peuvent également ne pas parvenir à prendre en compte l’évolution des besoins à l’échelle locale. Cependant, dans des systèmes fortement décentralisés, différents niveaux de l’exécutif peuvent allouer un volume différent de ressources à l’éducation, à cause de différences soit dans leurs priorités en matière d’éducation, soit dans leur capacité de lever des fonds. La forte variabilité des normes et des ressources d’éducation peut se traduire par des inégalités dans les possibilités d’apprentissage et un manque d’attention aux exigences nationales à long terme.

De nombreux établissements sont devenus des organisations plus autonomes et plus décentralisées, plus responsables aussi de leurs résultats à l’égard de leurs élèves ou étudiants, des parents et de l’opinion publique. Les résultats du Programme international de l’OCDE pour le suivi des acquis des élèves (PISA) suggèrent l’existence d’une corrélation entre, d’une part, l’adoption d’une combinaison adéquate d’autonomie et de responsabilisation et, d’autre part, l’amélioration des résultats des élèves (OCDE, 2016[1]).

Les niveaux de l’exécutif qui financent l’éducation varient selon les niveaux d’enseignement. Le financement public est, dans l’ensemble, plus centralisé dans l’enseignement tertiaire qu’aux niveaux inférieurs d’enseignement. Selon les chiffres de 2019, le gouvernement central finance en moyenne 59 % du budget public de l’enseignement non tertiaire avant transferts à d’autres niveaux de l’exécutif, contre 88 % du budget public de l’enseignement tertiaire, dans les pays de l’OCDE (voir le Tableau C4.2 et le Graphique C4.2). Si une grande part du financement public au titre de l’enseignement primaire et secondaire est transférée aux exécutifs régionaux et locaux, en revanche, le financement public de l'enseignement tertiaire est presque entièrement centralisé. Le gouvernement central finance directement plus de 60 % du budget public de l’enseignement tertiaire dans la plupart des pays membres et partenaires de l’OCDE dont les données sont disponibles ; le gouvernement central est la principale source initiale et finale des fonds dans près de neuf pays sur dix. Par contraste, l’Espagne, ainsi que des pays à structure fédérale tels que l’Allemagne, la Belgique et la Suisse, les exécutifs régionaux financent plus de 60 % du budget de l’enseignement tertiaire et leurs transferts aux exécutifs locaux sont minimes, voire nuls. Les exécutifs locaux n’interviennent guère dans le financement de l’enseignement tertiaire, où leur part est de l’ordre de 1 % du budget public initial et définitif, sauf aux États-Unis où ils financent et dépensent plus de 12 % du budget total (voir le Graphique C4.2).

Le montant des transferts du gouvernement central aux exécutifs régionaux et locaux est plus élevé dans l’enseignement non tertiaire. En moyenne, dans les pays de l’OCDE, la part des fonds publics alloués à l’enseignement non tertiaire par le gouvernement central diminue et passe de 59 % à 44 % après transferts aux autres niveaux de l’exécutif, de sorte que la part des fonds des exécutifs locaux augmente et passe de 27 % à 42 %. La source des fonds avant et après transferts du gouvernement central aux exécutifs régionaux et locaux varie fortement entre les pays. La différence représente plus de 50 points de pourcentage après transferts aux exécutifs régionaux et locaux en Corée, en Lituanie, au Mexique, en Pologne et en République slovaque, et représente plus 30 points de pourcentage en Australie, en Autriche, au Chili et en Lettonie. Au Canada et aux États-Unis, où le budget des établissements provient essentiellement des exécutifs régionaux, la part des dépenses financée par les exécutifs régionaux diminue d’au moins 40 points de pourcentage après transferts aux exécutifs locaux (voir le Tableau C4.2).

Entre 2015 et 2019, le budget public au titre des établissements d’enseignement primaire, secondaire et tertiaire a augmenté de 9 % en moyenne dans les pays de l’OCDE. Dans certains pays, les dépenses d’éducation ont augmenté à un rythme comparable aux niveaux d’enseignement non tertiaire et tertiaire. C’est le cas en Allemagne, au Canada et au Costa Rica, par exemple, où l’augmentation relative des dépenses d’éducation évolue à un rythme quasi identique dans l’enseignement tertiaire et non tertiaire durant cette période. Même si cette augmentation s’aligne sur celle des dépenses publiques totales en Allemagne et au Canada, au Costa Rica, en revanche, les dépenses publiques d’éducation ont augmenté de 11 % tandis que le budget public total a augmenté de 55 % entre 2015 et 2019. Dans des pays tels que la Colombie, la Lituanie et la République slovaque, l’évolution de la dépense d’éducation varie selon le niveau d’enseignement : les dépenses au titre de l’enseignement tertiaire ont chuté d’au moins 8 %, mais les dépenses au titre de l’enseignement primaire à l’enseignement post-secondaire non tertiaire ont augmenté de 12 % au moins. Par contraste, au Chili, en Hongrie, en République tchèque et en Slovénie, les dépenses publiques au titre de l’enseignement tertiaire ont augmenté de plus de 20 % entre 2015 et 2019, soit la plus forte augmentation enregistrée dans les pays de l’OCDE (voir le Graphique C4.3).

Il est difficile d’expliquer simplement les différentes évolutions des dépenses d’éducation au fil du temps dans les pays de l'OCDE. En Hongrie et en Slovénie, par exemple, on aurait pu s'attendre à ce que les évolutions démographiques entraînant une diminution de l’effectif d’élèves dans l’enseignement tertiaire poussent les dépenses au titre de ce niveau d’enseignement à la baisse, plutôt que de poursuivre leur nette augmentation. Toutefois, nonobstant cette augmentation, la part des dépenses par étudiant à temps plein dans l’enseignement tertiaire en Hongrie et en Slovénie reste inférieure à la moyenne de l’OCDE (voir l’Indicateur C1). En Hongrie, les augmentations des dépenses publiques consacrées à l'enseignement tertiaire pourraient avoir été motivées par la Stratégie pour l'enseignement supérieur adoptée par le gouvernement en 2014, qui présente plusieurs engagements visant à développer les infrastructures d'enseignement supérieur en transformant d'anciens collèges et universités et en construisant des centres d'enseignement supérieur dans les régions isolées (OCDE, 2017[2]). En effet, en 2019, la Hongrie présentait l'une des parts les plus élevées de dépenses en capital par rapport aux dépenses courantes parmi les pays de l'OCDE, et les dépenses en capital par étudiant (2 100 USD) étaient supérieures à la moyenne de l'OCDE (1 600 USD) (voir l'indicateur C6). La divergence des dépenses par niveau d'enseignement peut être influencée à la fois par les tendances démographiques entraînant des changements dans les effectifs d'étudiants et par les structures de financement entre les gouvernements et les établissements d'enseignement. Par exemple, en République slovaque, le mécanisme par lequel le gouvernement alloue des fonds aux établissements d'enseignement supérieur joue un rôle clé dans les changements observés au cours de cette période. Étant donné que les allocations budgétaires des établissements dépendent du nombre d'étudiants et de diplômés, les dépenses publiques pour les établissements d'enseignement supérieur ont diminué avec la baisse de la population étudiante de l'enseignement supérieur, en raison à la fois des changements démographiques et du fait que les étudiants nationaux ont choisi d'étudier à l'étranger (OCDE, 2021[3])

Entre 2015 et 2019, la part des dépenses publiques totales allouée à l’éducation, de l’enseignement primaire à l’enseignement tertiaire, a diminué de 0,9 % en moyenne dans les pays de l’OCDE. Les dépenses publiques au titre de l’éducation ont augmenté, mais à un rythme moins soutenu que les dépenses publiques totales qui ont augmenté de 11,0 %. En dépit de cette diminution relative globale, les dépenses publiques au titre de l’éducation en pourcentage de dépenses publiques globales ont augmenté entre 2015 et 2019 dans près de la moitié des pays membres et partenaires de l’OCDE dont les données des deux années de référence sont disponibles, surtout en République tchèque et en Slovénie (plus de 13 %). Dans les autres pays, cependant, le budget public consacré à l’éducation n’a pas augmenté autant que le budget public total. Le Costa Rica, la Lettonie, la Lituanie, le Mexique, la Nouvelle-Zélande et la République de Türkiye font vraiment figure d’exceptions : le budget public total y a augmenté de plus de 10 points de pourcentage de plus tous secteurs confondus que dans l’éducation (voir le Tableau C4.3).

Par transferts entre niveaux de l’exécutif, on entend les transferts de fonds au titre de l’éducation entre les différents niveaux de l’exécutif. Il s’agit des transferts nets d’un niveau supérieur à un niveau inférieur de l’exécutif. Le financement initial renvoie au budget avant transferts entre les niveaux de l’exécutif et le financement final, au budget après transferts.

Les dépenses publiques d’éducation incluent les dépenses au titre des établissements d’enseignement et les aides au titre des frais de subsistance des élèves et étudiants et autres dépenses privées en dehors des établissements, contrairement aux indicateurs C1, C2 et C3 qui portent uniquement sur les dépenses d’éducation. Elles incluent aussi les dépenses de toutes les entités publiques, dont celles du ministère de l’Éducation et d’autres ministères, des exécutifs locaux et régionaux et autres instances publiques. Le mode d’affectation du budget public de l’éducation varie selon les pays de l’OCDE. Les ressources publiques peuvent être allouées aux établissements soit directement, soit indirectement par l’intermédiaire des ménages ou au travers de programmes gouvernementaux. Elles peuvent aussi être réservées à l’acquisition de services d’éducation ou être destinées au financement des frais de subsistance des élèves et étudiants.

Les sources publiques de financement de l’éducation, exception faite des sources internationales, se répartissent en trois catégories : 1) le gouvernement central (national) ; 2) les exécutifs régionaux (États, provinces, Länder, etc.) ; et 3) les exécutifs locaux (municipalités, districts, communes, etc.). Les adjectifs « régional » et « local » désignent les exécutifs dont les compétences sont limitées à un territoire administratif dans un pays. Ils ne s’appliquent pas à des instances gouvernementales dont les compétences ne sont pas limitées de manière géographique, mais sont définies en termes de services, de fonctions ou de catégories d’élèves ou étudiants.

Les dépenses publiques totales correspondent à la somme des dépenses en capital et des dépenses de fonctionnement non remboursables dans tous les domaines (y compris l’éducation) de tous les niveaux de l’exécutif (gouvernement central et exécutifs régionaux et locaux) et des producteurs non marchands (c’est-à-dire qui fournissent des biens et services gratuitement ou à un prix négligeable) contrôlés par l’exécutif ainsi que les fonds de la sécurité sociale. Elles n’incluent pas les dépenses de sociétés publiques, telles que les banques, les ports et les aéroports publics. Elles incluent les dépenses publiques directes au titre des établissements d’enseignement (définies ci-dessus) ainsi que les aides publiques aux ménages (par exemple, les bourses, les prêts d’études et les aides au titre des frais de subsistance et de scolarité des élèves ou étudiants) et à d’autres entités privées au titre de l’éducation (par exemple, les subventions aux entreprises privées ou aux organisations syndicales au titre de la formation sous contrat d’apprentissage).

Les chiffres relatifs aux dépenses publiques totales et au PIB proviennent de la Base de données de l’OCDE sur les comptes nationaux (voir l’annexe 2).

Les dépenses publiques d’éducation des pays sont rapportées en pourcentage de leurs dépenses publiques totales. Le concept statistique de budget public total est défini selon la Classification des fonctions des administrations publiques (CFAP). La CFAP et la collecte de données de l’UNESCO, l’OCDE et Eurostat (UOE) sont assez proches, mais certains de leurs concepts statistiques diffèrent à quelques égards (Eurostat, 2019[5]).

Les dépenses au titre du service de la dette (remboursements afférents à la dette publique) sont incluses dans les dépenses publiques totales, mais sont exclues des dépenses publiques d’éducation, car certains pays ne peuvent faire la distinction entre les intérêts dus pour l’éducation et ceux dus pour les autres services. Par voie de conséquence, les dépenses publiques d’éducation en pourcentage des dépenses publiques totales peuvent être sous-estimées dans les pays où le service de la dette représente une partie importante des dépenses publiques totales tous services confondus.

Voir le Guide de l’OCDE pour l’établissement de statistiques internationalement comparables dans le domaine de l’éducation 2018 (OCDE, 2018[7]) pour de plus amples informations. Voir les notes spécifiques aux pays à l’annexe 3 (https://www.oecd.org/education/education-at-a-glance/EAG2022_X3-C.pdf).

Les données se rapportent à l’année budgétaire 2019 (sauf mention contraire) et proviennent de la collecte de données statistiques sur l’éducation de l’UNESCO, de l’OCDE et d’Eurostat (UOE) réalisée en 2021 par l’OCDE (pour plus de précisions, voir l’annexe 3, https://www.oecd.org/education/education-at-a-glance/EAG2022_X3-C.pdf). Les données de l’Afrique du Sud, de l’Arabie saoudite, de l’Argentine, de l’Inde, de l’Indonésie et de la République populaire de Chine proviennent de l’Institut de statistique de l’UNESCO (ISU).

Les données relatives aux dépenses de 2012 à 2019 ont été mises à jour sur la base d’une enquête menée en 2021 et 2022 et ont été ajustées en fonction des méthodes et des définitions appliquées lors du dernier exercice UOE de collecte de données en date.

Références

[5] Eurostat (2019), Manual on Sources and Methods for the Compilation of COFOG Statistics: Classification of the Functions of Government, Commission européenne, Luxembourg, https://data.europa.eu/doi/10.2785/498446.

[3] OCDE (2021), Improving Higher Education in the Slovak Republic, Higher Education, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/259e23ba-en.

[6] OCDE (2021), Perspectives de l’emploi de l’OCDE 2021 : Affronter la crise du COVID-19 et préparer la reprise, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/40fac915-fr.

[4] OCDE (2021), The State of School Education: One Year into the COVID Pandemic, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/201dde84-en.

[7] OCDE (2018), Guide de l’OCDE pour l’établissement de statistiques internationalement comparables dans le domaine de l’éducation 2018 : Concepts, normes, définitions et classifications, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/9789264305380-fr.

[2] OCDE (2017), « Overview of the Hungarian higher education system », dans Supporting Entrepreneurship and Innovation in Higher Education in Hungary, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/9789264273344-6-en.

[1] OCDE (2016), Résultats du PISA 2015 (Volume II) : Politiques et pratiques pour des établissements performants, PISA, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/9789264267558-fr.

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