1. Résultats et recommandations

L’essor des chaines de valeur mondiales dans les années 1990 et 2000 a participé à l’internationalisation massive des échanges de biens, services et capitaux. Cependant, les indicateurs économiques semblent montrer un ralentissement de ce phénomène depuis la récession de 2008 (Allegret, Le Merrer and Unal, 2020[1]). Ce tassement s’inscrit aujourd’hui dans un contexte mondial perturbé par des changements de politiques (tel que le Brexit), l’émergence de « géographies du mécontentement » ( (Rodríguez-Pose, 2018[2]) (Rodrik, 2018[3]) (McCann, 2020[4])), alimentées par des impacts territoriaux très divers de la globalisation et une perception négative du phénomène. Ainsi en France, 74% des français interrogés avaient en 2020 le sentiment que la globalisation accroit les inégalités sociales (Bertelsmann-Stiftung, 2020[5])1. La situation est aujourd’hui complexe du fait d’une prise de conscience contradictoire induite par la crise sanitaire et la relance : entre préoccupations liées à la trop grande dépendance vis-à-vis d’approvisionnements étrangers en matériaux et composants d’une part et satisfaction envers la recherche et la production mondiales de vaccins ainsi que du soutien des institutions internationales (en particulier de l’Union Européenne) pour répondre à l’urgence d’autre part.

Il ne s’agit donc pas de penser le débat en termes de « plus ou moins » de mondialisation mais bien plutôt de sa transformation, de manière à en tirer profit tout en atténuant ses effets négatifs, et à assurer un commerce international compatible avec les enjeux relatifs aux changements climatique, démographique, technologique et d’accroissement des inégalités (OECD, 2021[6]).

Les préférences des acteurs évoluent d’ailleurs face à ces mutations, consécutivement à la crise sanitaire, aux préoccupations environnementales et à la dynamique de la relance. Les mesures limitant la circulation du virus ont fortement réduit les flux de personnes, contribuant à la fois à l’accélération de la digitalisation (avec l’adoption massive du télétravail) et à une prise de conscience de l’impact des modes de consommation et de production sur l’environnement. Une attention renouvelée aux chaînes de valeur et à leur résilience a par ailleurs émergé comme une priorité dans de nombreux pays de l’OCDE, afin de renforcer leurs secteurs stratégiques, l’emploi, et de manière générale la résilience des régions aux chocs dans l’économie mondiale. Ces phénomènes ont ouvert de nouvelles possibilités de développement pour des territoires souffrant d’un déficit d’attractivité par le passé, mais caractérisés par la présence d’infrastructures déterminantes, notamment de transport et/ou numérique et/ou d’accès à des réseaux logistiques développés et/ou des ressources foncières.

D’autre part, l’impact territorialement différencié de la crise, à la fois en termes sanitaires, économiques et sociaux a imposé la mise en place de stratégies de relance fortement régionalisées. De la même manière, les régions et les entreprises accordent un intérêt particulier au renforcement des chaînes de valeur mondiales, notamment dans le cadre de stratégies de relocalisation (Charbit and Gatignol, 2022 à paraître[7]). L’impératif écologique, qui figure désormais au cœur de l’ensemble des stratégies de relance européennes, nationales et régionales, et de nombreux mouvements citoyens, invite également les acteurs publics et privés à penser de nouvelles formes de production, à rebours d’une gestion de court-terme favorisant l’optimisation de la performance/coûts au détriment des enjeux environnementaux et sociaux.

Cette évolution s’incarne dans les choix de localisation des acteurs - investisseurs, talents et visiteurs en particulier – qui sont amenés à prendre en compte un ensemble plus varié de facteurs d’attractivité, parmi lesquels les incitations pécuniaires ne sont qu’une dimension parmi d’autres. Il s’agit bien d’identifier ce qui fait l’attractivité spécifique d’un territoire au-delà des variables macroéconomiques nationales liées par exemple au coût de l’emploi, à la fiscalité et à la stabilité institutionnelle. En effet, la qualité de l’écosystème de recherche et d’innovation, la qualification de la main d’œuvre, la qualité de vie, les aménités culturelles et environnementales, la cohésion sociale et la qualité institutionnelle sont autant d’arguments de poids pour décider de l’implantation (Tuccio, 2019[8]). Ces différentes dimensions dessinent avant tout des écosystèmes territorialisés et différenciés.

Le contexte de transition, à la fois économique (phases de contraction et d’expansion), environnementale (vers des modèles de consommation et de production plus responsables vis-à-vis du climat et de la biodiversité), technologique (vers des formes numérisées et automatisées des modes de production et de consommation) et sociale (pour accompagner notamment les « perdants » de ces évolutions technologiques et environnementales), a renforcé l’attention portée aux politiques alliant mondialisation et développement régional. Il s’agit en effet de comprendre comment ce phénomène peut contribuer au développement des régions de manière inclusive et durable et en tenant compte de la diversité de leurs territoires et des politiques nationales qui les concernent.

Depuis le transfert de compétences en matière d‘internationalisation et d’attractivité, les Régions françaises ont conçu et mis en œuvre des stratégies d’internationalisation. Elles sont en train de remanier ces stratégies dans le triple contexte de l’expérience acquise par l’ensemble des parties prenantes depuis six ans, de l’élection de nouvelles équipes à leur tête en juin 2021 et des changements dans l’économie mondiale consécutifs à la crise du COVID 19 décrits plus haut.

De leur côté, les autorités nationales françaises ont lancé d’importantes réformes de soutien aux acteurs de l’exportation et de l’attractivité qui vont dans le sens de leur meilleure coordination à travers à la création de la « Team France Export » (qui regroupe les Régions, les services de l’État, Business France, les Chambres de Commerce et d’Industrie et Bpifrance) et, récemment, de la « Team France Invest » (qui regroupe, outre Business France et les agences régionales de développement, les Présidents de Région et leurs services, les services économiques des ambassades, les Préfets de Région et les services déconcentrés de l’État, les services des ministères et les opérateurs de l’État, notamment l’ANCT, la Banque des territoires et Bpifrance). L’Agence nationale de la cohésion des territoires met quant à elle en œuvre un ambitieux programme d’attractivité des investissements industriels et de relocalisation de l’activité à travers les « Territoires d’industrie ».

Réfléchir à la possible nouvelle articulation entre développement global et développement local (« le glocal ») conduit à poser plusieurs questions : Quels sont les leviers de l’attractivité et de l’internationalisation des régions ? Quelles sont les politiques qui peuvent renforcer l’attractivité des régions et celle de leurs produits à l’export tout en réduisant les inégalités et en préservant l’environnement ? Comment coordonner l’action des autorités régionales avec les autres niveaux d’action publique (européen, national et local) et les acteurs non-gouvernementaux qui agissent pour améliorer l’attractivité inclusive et durable des territoires ? Ce dernier enjeu – celui de la gouvernance pluri-niveaux – est d’autant plus important que de nombreuses parties prenantes sont concernées par ces politiques complexes qui traversent les périmètres administratifs et les secteurs de l’action publique.

Pour contribuer à répondre à ces questions, une première étude, conduite en étroite collaboration avec les autorités françaises (à l’initiative de son Agence de Cohésion des Territoires, ANCT et en partenariat avec Régions de France) a permis de proposer un outil pour positionner les Régions dans la mondialisation et dresser leur « profil international » (OECD, 2021[9]). Il en ressort que des stratégies d’internationalisation territorialisées, informées, et complémentaires (plutôt que monodimensionnelles), visant plusieurs objectifs et cibles dans la mondialisation, sont un puissant levier pour un développement territorial plus équilibré.

Cette collaboration fructueuse avec la France a par la suite bénéficié du soutien de la Direction générale pour l’appui à la réforme structurelle (DG REFORM) de la Commission européenne, et particulièrement du Programme d’appui à la réforme structurelle (PARS) afin de poursuivre le travail engagé. En se fondant sur l’étude des cas et l’implication de trois régions pilotes françaises (Grand Est, La Réunion, Provence-Alpes-Côte-D’Azur), cette deuxième étude, menée à la demande de la France2 et en étroite collaboration avec Régions de France et les Régions partenaires, vise à analyser les déterminants et les opportunités de l'internationalisation des régions françaises pour soutenir les exports et l'attractivité des territoires, dans la perspective d'un développement durable et inclusif et dans un environnement global transformé par la crise. Elle a bénéficié de la mobilisation de nombreux acteurs sur le terrain et au niveau national, réunis notamment dans son Comité de pilotage3.

Ce rapport présente la synthèse des travaux conduits dans ce cadre. Il s’agit en particulier de formuler des réponses concrètes et de proposer des outils pour :

  • Améliorer la qualité des données et indicateurs disponibles au sujet de l’internationalisation et l’attractivité des régions, en termes quantitatifs et qualitatifs, afin notamment d’aider les autorités régionales dans la préparation de la nouvelle génération des Schémas régionaux de développement économique, d’innovation et d‘internationalisation (qui doivent être finalisés avant fin 2022) 4;

  • Renforcer les éléments de comparaison internationale avec les autres régions de l’UE et de l’OCDE

  • Contribuer à développer le dialogue État-Régions sur les stratégies d’internationalisation et à renforcer la coordination des politiques en faveur des exportations et de l’attractivité auprès des investisseurs, talents et visiteurs

  • Équiper l’ANCT d’outils pour remplir sa mission d’assistance auprès des collectivités territoriales et notamment des autorités régionales, dans la réalisation de leurs compétences.

Le Chapitre 2 discute l’impact de la crise liée à la pandémie de COVID-19 sur le positionnement des Régions dans la mondialisation, ainsi que les évolutions récentes dans le contexte de la relance et des autres mégatendances. Ce chapitre confirme la nécessité d’adopter une approche régionale pour comprendre ces différents impacts, et concevoir les politiques nécessaires pour y répondre, en particulier en termes d’internationalisation et d’attractivité. Ces concepts qui nourrissent les chapitres suivants y sont précisés, ainsi que l’approche méthodologique adoptée pour cette étude.

Le Chapitre 3 propose deux outils mobilisant les statistiques permettant d’affiner le profil international des régions et d’établir leur profil d’attractivité de manière comparée (entre régions françaises et à l’échelle des régions de l’UE - et parfois de l’OCDE). Ces deux outils de diagnostic développés à partir de l’analyse de la littérature économique et des données accessibles, donnent à voir la diversité des leviers pour l’attractivité des régions vis-à-vis de cibles internationales : investisseurs, talents, visiteurs. Une sélection d’indicateurs, choisis selon plusieurs critères dont leur robustesse, permet de visualiser les profils d’attractivité des régions françaises. Ces profils sont complétés par un troisième outil, l’analyse syntaxique des sites internet des Régions, qui met en évidence l’importance relative du sujet international et de l’attractivité dans la stratégie de communication digitale des autorités régionales et de leurs pairs limitrophes.

En complément de ce travail statistique, cette étude s’est appuyée sur la réalisation d’une enquête de terrain dans trois Régions-pilotes. La bonne conduite de cette enquête a été rendue possible grâce à l’implication des autorités régionales concernées et de l’association Régions de France ainsi qu’aux échanges continus avec l’ANCT et sa mobilisation des correspondants dans les Ministères, Agences et Opérateurs d’État concernés par les politiques d’internationalisation et d‘attractivité régionales.

Cette enquête s’est appuyée sur la consultation d’un total de 127 acteurs dans les trois Régions-pilotes (collectivités territoriales et leurs agences, acteurs de l’enseignement supérieur et de la recherche, secteur privé, et associations) ; ainsi que les services, agences et opérateurs de l’État au niveau national, et leurs délégations territoriales. Ce travail de terrain a permis d’identifier des politiques clés pour l’internationalisation et l’attractivité des territoires et la manière dont elles sont mises en œuvre. Les résultats de l’enquête, présentés au Chapitre 4, notamment sous forme de cartographies institutionnelles, donnent à voir la complexité des politiques de l’internationalisation et de l’attractivité. Ce constat résulte tout d’abord d’une mise en œuvre encore partiellement aboutie des réformes d’allocation des compétences aux Régions, contenues dans la loi Notre, et de la complexité résultant de la loi, notamment en matière d’allocation des compétences du tourisme entre les différentes collectivités territoriales. Elles sont aussi dues à la variété de fait, et ceci est vrai quel que soit le contexte institutionnel, des stratégies et acteurs qui composent les politiques d’internationalisation et d’attractivité, à différents niveaux de l’action publique. Au-delà de la clarification du « qui fait quoi », le constat appelle la mobilisation d’outils de coordination efficaces.

Le Chapitre 5 propose justement deux autres outils :

  • Un outil de clarification des principaux défis de coordination posés par ces politiques marquées par l’implication de différents niveaux de gouvernement et acteurs (sous la forme d‘une « checklist »). En s’appuyant sur l’analyse de la gouvernance pluri-niveaux proposée par l’OCDE, il donne à voir huit enjeux marquant le contexte de l’internationalisation et de l’attractivité régionales, ainsi qu’une série de propositions et d’exemples français et internationaux permettant d’y répondre. Il constitue un outil de dialogue efficace pour la coordination des parties prenantes aux politiques concernées.

  • Un outil opérationnel pour appuyer les acteurs publics dans le suivi de onze politiques clés d’internationalisation et d’attractivité régionales5. Il s’agit d’une proposition d’outil, qui comprend cinq indicateurs de suivi et d’évaluation concernant les étapes suivantes dans le domaine en question : intrants, processus, résultats, réalisations, impact de long-terme. Cet outil a été nourri des résultats de l’enquête de terrain, et en particulier des éléments discutés lors de six ateliers de travail et d’un très grand nombre d’entretiens conduits, ainsi que des réponses des autorités régionales à un questionnaire préliminaire6. Dans la mesure du possible il rassemble des indicateurs déjà mobilisés par les acteurs, dans différents contextes, afin de ne pas peser sur leur charge administrative.

Enfin, un plan d’action à destination des autorités régionales est présenté dans un Guide opérationnel pour la mise en œuvre des recommandations pour l’internationalisation et l’attractivité des régions françaises joint à ce rapport. S’appuyant sur les différentes leçons tirées de ce travail et les outils proposés, ce guide peut être utilisé par les acteurs publics dans l’élaboration des prochaines stratégies d’internationalisation et d’attractivité, et en particulier des SRDEII.

Les différents éléments produits dans le cadre de cette étude ont pour objectif d’aider les autorités françaises. La pertinence de ce travail dans le contexte actuel est cependant confirmé par son extension à d’autres régions de l’OCDE, notamment en Amérique latine (Argentine, Chili, Colombie), au Maroc (Région Tanger-Tétouan-Al Hoceima) ainsi qu’avec une quinzaine de régions dans cinq pays européens (Espagne, Irlande, Italie, Portugal et Suède). La plupart de ces études sont soutenues par la Commission européenne et en particulier sa Direction générale de la politique régionale et urbaine (DG REGIO) qui a souhaité contribuer à ce projet concernant les Régions dans la Mondialisation, afin d’en tirer les éléments utiles à la réflexion pour repenser les politiques de développement territorial.

Références

[5] Bertelsmann-Stiftung (2020), “Attitude on Globalization on the eve of the corona crisis”, Globalization Survey.

[7] Charbit, C. and C. Gatignol (2022 à paraître), “Repenser les stratégies d’attractivité régionale dans le nouvel environnement”, OECD Regional Development Papers.

[4] McCann, P. (2020), “Perceptions of regional inequality and the geography of discontent: insights from the UK”, Regional Studies, Vol. 54, pp. 256-267.

[9] OECD (2021), Les Régions dans la Mondialisation: Une approche originale de l’internationalisation des régions et son application au cas français, https://www.oecd-ilibrary.org/docserver/5c76db6f-fr.pdf?expires=1627893107&id=id&accname=ocid84004878&checksum=B82F227EAFC24B013613C7DA8213BEE1.

[6] OECD (2021), Making trade work for all, https://www.oecd.org/trade/understanding-the-global-trading-system/making-trade-work-for-all/.

[2] Rodríguez-Pose, A. (2018), “The revenge of the places that don’t matter (and what to do about it)”, Cambridge Journal of Regions, Economy and Society, Vol. 11/1, pp. 189-209, https://doi.org/10.1093/cjres/rsx024.

[3] Rodrik, D. (2018), “Populism and the economics of globalization”, Journal of International Business Policy, Vol. 1/1, pp. 12-33, https://drodrik.scholar.harvard.edu/files/dani-rodrik/files/populism_and_the_economics_of_globalization.pdf.

[1] supérieur, D. (ed.) (2020), Économie de la mondialisation : Une reconfiguration en marche, 1re édition, LMD Économie.

[8] Tuccio, M. (2019), “Measuring and assessing talent attractiveness in OECD countries”, OECD Social, Employment and Migration Working Papers, No. 229, OECD Publishing, Paris, https://dx.doi.org/10.1787/b4e677ca-en.

Notes

← 1. Sondage réalisé par Yougov en 2020 dans quinze pays industrialisés et émergents (Allemagne, Brésil, Canada, Chine, Corée du Sud, États-Unis, France, Inde, Indonésie, Japon, Mexique, Nigéria, Royaume-Uni, Russie, Suède) pour la Fondation Bertelsmann-Stiftung.

← 2. Instituée le 1er janvier 2020, l’ANCT est placée sous la tutelle du Ministère de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales. C’est une agence nationale qui dispose d’un délégué territorial dans chaque département, et contribue à la territorialisation des politiques publiques et soutient, y compris en financement et en ingénierie - les collectivités territoriales afin de les aider dans la réalisation de leurs compétences y compris en matière d’internationalisation et d’attractivité.

← 3. Ministère de cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (DGCL), Ministère de la Culture, Ministère de l’économie, des Finances et de la Relance (DG Trésor), Ministère de l’Europe et des affaires étrangères, Ministère de la Transition écologique (CGEDD), Délégation interministérielle au développement de la vallée de la Seine, Secrétariat Général aux Affaires Européennes (SGAE), Douanes françaises, AFD, Atout France, Bpifrance, Business France, Caisse des Dépôts, CCI France.

← 4. Ce moment coïncide également avec le renouvellement de la période programmatique de la politique de cohésion territoriale de l’Union Européenne, et notamment des programmes du Fonds Européen de Développement Régional (FEDER) ; ainsi qu’avec la mise en place d’une nouvelle génération de Contrat de Plan État-Région (CPER), articulés en deux temps : un accord de relance, à horizon 2022 ; et un volet de long-terme, jusqu’en 2027.

← 5. Politiques d’attractivité auprès des investisseurs ; Stratégie de soutien à l’export ; Stratégie de relocalisation/réindustrialisation ; Politique d’attractivité des talents dans les secteurs en tension ; Politique d’attractivité des étudiants et chercheurs étrangers pour soutenir l’innovation ; Soutien au développement d’une offre touristique dans les territoires peu fréquentés ; Soutien à la « dessaisonalisation » de l’offre touristique ; Politique de valorisation du foncier économique ; Politique de lutte contre l’artificialisation des sols ; Soutien au développement des activités logistiques et portuaires ; Soutien à la digitalisation du territoire

← 6. Ces ateliers de travail, deux par Région-pilotes, ont mobilisés des acteurs publics et privés de l’attractivité régionale, ainsi que des pairs internationaux. Ces discussions ont permis de présenter les résultats tirés de l’enquête de terrain et de les valider auprès des acteurs locaux, afin de nourrir les outils produits par cette étude.

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