Indicateur A2. Transition entre les études et la vie active : Où en sont les jeunes d’aujourd’hui ?

En moyenne, la moitié environ des 18-24 ans sont encore scolarisés, à temps plein ou partiel, dans les pays de l’OCDE. Dans ce groupe d’âge, un tiers environ de l’effectif scolarisé travaille (voir le Graphique A2.1). Les jeunes encore scolarisés ont parfois une activité professionnelle en lien avec leurs études, ce qui leur permet d’acquérir de l’expérience et des compétences techniques et de faire la connaissance d’employeurs potentiels. Les formations dont la composante pratique en entreprise est rémunérée (les programmes « emploi-études » dans le Tableau A2.1) sont particulièrement courantes en Allemagne et en Suisse, où leur composante scolaire relève de la filière professionnelle dans le deuxième cycle de l’enseignement secondaire (OCDE, 2022[2]). Il est courant aussi que les 18-24 ans travaillent alors qu’ils sont encore scolarisés en Australie et en Norvège, à la différence près que leur activité (servir dans un restaurant sous statut d’étudiant, par exemple) est souvent sans lien avec leurs études. En Islande, en Nouvelle-Zélande et aux Pays-Bas, les étudiants conjuguent aussi fréquemment travail et études, mais les données ne font pas de distinction entre les programmes de formation en alternance et les autres types d'emploi (voir le Tableau A2.1). Même si leur activité n’a rien à voir avec leurs études, elle peut les aider à acquérir des compétences, par exemple en matière de travail en équipe ou de gestion des conflits, qui améliorent leur employabilité et, donc, facilitent leur entrée dans la vie active. Selon l’Enquête de l’Union européenne sur les forces de travail (EU-LFS), le taux d’emploi des diplômés de l’enseignement tertiaire est plus élevé chez ceux qui ont travaillé pendant leurs études que chez ceux qui n’ont pas travaillé (OCDE, 2022[2]).

Le pourcentage de jeunes sans-emploi qui ne sont ni scolarisés, ni en formation (NEET) est un indicateur clé de la facilité de la transition entre l’école et le monde du travail. Chez les 18-24 ans, le pourcentage de NEET s’élève en moyenne à 16.1 % dans les pays de l’OCDE ; il passe la barre des 25 % au Chili, en Colombie, au Costa Rica, en Italie et en République de Türkiye (voir le Graphique A2.1). Faire en sorte que les jeunes ne deviennent pas NEET et, s’ils le sont, qu’ils le restent le moins longtemps possible est essentiel. Les jeunes NEET sont perdants non seulement à court terme, parce qu’ils passent à côté d’occasions d’apprendre et de travailler, mais aussi à long terme, car ils garderont longtemps les séquelles de ce passage à vide. La condition de NEET a été associée à diverses retombées fâcheuses, par exemple à un taux d’emploi et à des revenus moindres l’âge venant (Helbling et Sacchi, 2014[3] ; Möller et Umkehrer, 2014[4] ; Ralston et al., 2021[5]), à une santé mentale fragile (Basta et al., 2019[6]) et à l’exclusion sociale (Bäckman et Nilsson, 2016[7]).

Pour décrire l’entrée dans la vie active des diplômés de l’enseignement tertiaire, il est préférable de s’intéresser aux 25-29 ans et au pourcentage de NEET inactifs et chômeurs parmi eux, car les 18-24 ans inscrits dans l’enseignement tertiaire sont encore scolarisés pour la plupart. Il est important d’interpréter les pourcentages de NEET et de NEET chômeurs compte tenu du taux de chômage global de chaque pays (voir l’indicateur A3). Le pourcentage de jeunes NEET chômeurs tend à être plus élevé dans les pays où le taux de chômage est élevé dans l’ensemble. Ces 15 dernières années, le pourcentage de jeunes inactifs n’a guère évolué, contrairement au pourcentage de jeunes chômeurs, qui tend à fluctuer au gré de la conjoncture économique. Le chômage de NEET a augmenté durant la crise économique qui a éclaté en 2008 et a atteint le taux record de 9.6 % des 25-29 ans en 2013 en moyenne dans les pays de l’OCDE avec des données de tendance disponibles. Il a fallu près d’une dizaine d’années pour que ce taux revienne à son niveau d’avant-crise (voir le Graphique A2.2). Les effets de cette crise majeure venaient à peine de s’estomper lorsque la pandémie de COVID-19 a ébranlé le marché du travail dans le monde entier. Toutefois, les chiffres de 2021 portent sur le premier trimestre de l’année dans la plupart des pays et ne rendent pas encore compte de l’impact de la pandémie de COVID-19 (voir la dernière section du chapitre consacrée à l’impact de la pandémie sur les pourcentages de NEET).

Le temps pendant lequel les jeunes sont NEET a de l’importance. Le chômage frictionnel est naturel et jusqu’à un certain point inévitable : trouver le poste qui convient peut prendre un certain temps aux jeunes, qu’ils soient ou non diplômés. Ceux d’entre eux qui travaillent déjà peuvent aussi vouloir changer de poste, ce qui peut impliquer une période de chômage. Les longs passages à vide caractéristiques des NEET sont toutefois révélateurs des difficultés ressenties pendant la transition entre l’école et le monde du travail. Le chômage de longue durée peut entraîner des difficultés financières et obliger les jeunes à accepter des emplois qui ne correspondent pas forcément à leurs compétences. Il peut également avoir des conséquences néfastes sur leurs futures perspectives d'emploi (OCDE, 2021[8]). Le pourcentage de NEET au chômage depuis 12 mois minimum est particulièrement élevé au Brésil, en Grèce, en Italie et en Afrique du Sud, où il est égal ou supérieur à 5 % chez tous les 18-24 ans. Il est relativement élevé aussi en Argentine, en Espagne et en République slovaque, où il est de l’ordre de 3 %, contre 1.4 % en moyenne dans les pays de l’OCDE (voir le Graphique A2.3). Le pourcentage de jeunes au chômage depuis 12 mois minimum est révélateur du nombre de jeunes exposés au risque de s’éloigner durablement du marché du travail, sachant que l’on compte au nombre des NEET des inactifs (soit ceux qui ne travaillent pas et ne cherchent pas activement de travail) en plus des chômeurs de longue durée. En moyenne, les NEET inactifs (9.4 % des 18-24 ans) sont plus nombreux que les NEET chômeurs (6.4 %) dans les pays de l’OCDE dont les données sur la durée du chômage et de l’inactivité sont disponibles (voir le Tableau A2.2

La prévention est un enjeu majeur vu les piètres perspectives sociales et financières associées à la condition de NEET. L’élévation du niveau de formation, doublée d’un maintien d’enseignement de qualité, est un levier très efficace pour y parvenir. Le niveau de formation et la condition de NEET sont en étroite corrélation. Les non-diplômés du deuxième cycle de l’enseignement secondaire sont les plus exposés au risque d’être NEET. En moyenne, 42.2 % des 25-29 ans non diplômés du deuxième cycle de l’enseignement secondaire sont NEET dans les pays de l’OCDE. Ce pourcentage est nettement plus élevé dans certains pays : 77.8 % en République slovaque et 60.9 % en Grèce. Le risque de devenir NEET est nettement moins élevé dans l’effectif diplômé du deuxième cycle de l’enseignement secondaire ou de l’enseignement post-secondaire non tertiaire (20.0 % en moyenne, dans les pays de l’OCDE) (voir le Graphique A2.4). Faire en sorte que tous les jeunes soient au moins diplômés du deuxième cycle de l’enseignement secondaire est donc une partie essentielle de la stratégie de prévention.

Le pourcentage de NEET est moins élevé encore dans l’effectif diplômé de l’enseignement tertiaire : 12.1 % en moyenne, dans les pays de l’OCDE. De tous les pays de l’OCDE, c’est au Costa Rica, aux États-Unis et en Irlande que l’obtention d’un diplôme de l’enseignement tertiaire réduit le plus le risque de devenir NEET. Un diplôme de l’enseignement tertiaire ne protège toutefois pas autant contre ce risque dans certains pays. Les jeunes sont à peu de choses près autant exposés au risque de devenir NEET s’ils sont diplômés de l’enseignement tertiaire que s’ils sont au plus diplômés du deuxième cycle de l’enseignement secondaire ou de l’enseignement post-secondaire non tertiaire en Grèce et en République slovaque (voir le graphique A2.4). Que les NEET soient nombreux dans l’effectif diplômé de l’enseignement tertiaire peut s’expliquer par différents facteurs, notamment une économie léthargique, un décalage entre l’offre et la demande de diplômés sur le marché du travail et la propension des diplômés à prendre le temps qu’il faut pour trouver l’emploi qui leur convient vu la longueur de leurs études. Le Danemark fait figure d’exception : le pourcentage de NEET est plus élevé dans l’effectif diplômé de l’enseignement tertiaire que dans l’effectif diplômé du deuxième cycle de l’enseignement secondaire ou de l’enseignement post-secondaire non tertiaire, mais il est relativement modéré dans les deux groupes. Le Danemark fait partie avec les Pays-Bas et la Suède du cercle très fermé où le pourcentage de NEET est inférieur à 10 % chez les 25-29 ans du deuxième cycle de l’enseignement secondaire ou de l’enseignement post-secondaire non tertiaire (voir le Graphique A2.4).

Le pourcentage de jeunes NEET varie souvent fortement entre les régions. Il est très élevé dans certaines régions. Étant donné que la définition des NEET utilisée par l’EFT-UE (l’enquête sur les forces de travail de l’Union européenne) pour la collecte de données infranationales est différente de celle utilisée par d'autres enquêtes (voir la section « Méthodologie »), l'analyse de cette section se concentre sur les variations par région infranationale au sein des pays.

Le pourcentage de NEET varie le plus entre les régions en Colombie, en Grèce, en Italie et en Türkiye. Dans ces pays, le pourcentage de 18-24 ans NEET varie de plus de 20 points de pourcentage au moins entre les entités infranationales les mieux loties et les plus mal loties. C’est au Danemark, en Norvège, aux Pays-Bas et en Slovénie que l’écart entre les deux régions extrêmes est le moins élevé : moins de 5 points de pourcentage (OCDE, 2022[9]).

Précisons que le nombre de régions répertoriées varie selon les pays. Dans l’ensemble, les pays dont le nombre de régions répertoriées est plus élevé tendent à compter parmi ceux où le pourcentage de jeunes NEET varie plus entre les régions où il est le plus et le moins élevé. Ce n’est pas le seul facteur expliquant ces résultats. Dans les 9 pays et pays partenaires de l’OCDE dont le nombre de régions varie entre 8 et 13, la différence de pourcentage est par exemple comprise entre 4 points de pourcentage aux Pays-Bas et 25 points de pourcentage en Grèce (OCDE, 2022[10]).

La pandémie de COVID-19 a commencé par affecter des pans entiers de l’économie des pays de l’OCDE du fait des mesures strictes qui ont réduit l’activité dans de très nombreux secteurs. Comme les mesures ont été progressivement plus ciblées, beaucoup ont pu reprendre leur activité professionnelle, mais la situation sur le marché du travail reste difficile, en particulier pour les jeunes. Les jeunes ainsi que d’autres groupes vulnérables sur le marché du travail ont été frappés de plein fouet par la crise du COVID-19. Les jeunes sont toujours plus touchés que leurs aînés (les 25-54 ans) par temps de récession : ils ont moins d’expérience et sont souvent les premiers licenciés puisqu’ils sont les derniers engagés. Par ailleurs, les mesures de confinement et de distanciation physique ont fortement affecté des secteurs où les jeunes sont nombreux à travailler (par exemple, l’hôtellerie-restauration). Les jeunes qui ont pu continuer leur activité professionnelle ont vu leur temps de travail diminuer bien plus rapidement avant qu’après l’âge de 25 ans (OCDE, 2021[8]). Ceux qui venaient de finir leurs études ont peiné à trouver du travail. Ceux qui étaient à la recherche d’un stage en entreprise ou autre n’ont pas eu la tâche plus facile, et bon nombre d’entre eux ont été privés d’une première expérience professionnelle.

Le Graphique A2.5 retrace l’évolution du pourcentage de 18-24 ans NEET au cours des trois dernières années sur la base de chiffres annuels. Les chiffres annuels ne rendent pas compte des fluctuations ponctuelles, qu’elles résultent de la pandémie ou d’autres facteurs. Ils sont toutefois plus probants dans l’analyse comparative que les chiffres trimestriels sur lesquels les autres graphiques de cet indicateur sont basés. Les chiffres trimestriels dépendent en effet fortement des vagues de la pandémie de COVID-19 qui ont frappé les pays avec une intensité et à des moments différents, ce qui fausse les comparaisons).

Dans les pays de l’OCDE, le pourcentage de 18-24 ans NEET a augmenté, passant en moyenne de 14.6 % en 2019 à 16.6 % en 2020, avant de commencer à diminuer en 2021. Le pourcentage de NEET a retrouvé son niveau d’avant-pandémie dans la plupart des pays de l’OCDE et la part moyenne de jeunes NEET dans les pays de l’OCDE en 2021 n’a dépassé les niveaux de 2019 que d’1 point de pourcentage. Il est même moins élevé en 2021 qu’en 2019 dans 11 pays de l’OCDE (voir le Graphique A2.5 et le Tableau A2.4). Ces résultats sont cohérents avec d'autres analyses sur l'emploi des jeunes (OCDE, 2021[8]), ce qui donne à penser que les pouvoirs publics ont pris des mesures efficaces pour soutenir les jeunes et les ramener sur les bancs de l’école ou dans la vie active, ce qui a réduit l’ampleur des conséquences fâcheuses que le COVID-19 aurait pu avoir à long terme sur leur carrière.

Le niveau de formation correspond au plus haut niveau d’enseignement dont les individus sont diplômés.

Actifs occupés, chômeurs et inactifs : voir la section « Définitions » de l’indicateur A3.

Par individus scolarisés, on entend les individus scolarisés ou en formation dans le cadre institutionnel.

Niveaux de formation : les niveaux de la CITE 2011 sont tous décrits dans le Guide du lecteur, au début du présent rapport.

Par NEET (de l’anglais neither employed nor in education or training), on entend les jeunes sans emploi qui ne sont ni scolarisés, ni en formation dans le cadre institutionnel. Toutefois, la définition des NEET est différente pour la collecte de données infranationales dans les pays participant à l'EFT-UE, où les jeunes adultes qui suivent une éducation ou une formation non formelle ne sont pas considérés comme NEET.

Par programmes emploi-études, on entend les programmes d’enseignement ou de formation dispensés dans le cadre institutionnel et combinant des périodes concomitantes d’études et d’emploi rémunéré.

Les enquêtes sur la population active se rapportent dans l’ensemble au deuxième trimestre de l’année scolaire ou académique, car c’est la période la plus probante pour déterminer si les jeunes sont encore scolarisés ou s’ils ont arrêté leurs études pour entrer dans la vie active. Le deuxième trimestre de l’année scolaire ou académique correspond au premier trimestre de l’année civile (janvier, février et mars) dans la plupart des pays, mais au deuxième trimestre de l’année civile (avril, mai et juin) dans quelques pays.

Dans le Tableau A2.2, la part des jeunes adultes sans emploi pendant au moins 3 mois, mais moins de 12 mois se réfère à la part de ceux sans emploi pendant moins de 12 mois en Australie, en Colombie, au Portugal, en Suisse et en Türkiye.

Dans la dernière section de cet indicateur relative aux conséquences de la pandémie de COVID-19 pour les jeunes, les chiffres de 2019, de 2020 et de 2021 proviennent d’enquêtes sur la population active (EFT-UE).

Les constats faits sur la base des chiffres annuels peuvent sous-estimer l’effectif scolarisé, car ces chiffres portent aussi sur les mois d’été, lorsque personne ou presque n’est scolarisé et considéré comme tel dans les collectes de données. Ce problème se pose entre autres aux États-Unis.

Comme le fait d’être scolarisé ou en formation implique ici de l’être dans le cadre institutionnel, les sans-emploi en formation en dehors du cadre institutionnel sont classés dans la catégorie des NEET. Cependant, la définition de NEET est différente pour la collecte de données infranationales pour les pays participant à l’EFT-UE, où les jeunes adultes scolarisés ou en formation non formelle ne sont pas considérés comme NEET. Pour les pays de l'UE-OCDE, les taux de NEET par région infranationale ne sont donc pas comparables au niveau national présenté dans cet indicateur.

Voir le Guide de l’OCDE pour l’établissement de statistiques internationalement comparables dans le domaine de l’éducation 2018 (OCDE, 2019[11]) pour de plus amples informations. Voir les notes spécifiques aux pays à l’annexe 3 (https://www.oecd.org/education/education-at-a-glance/EAG2022_X3-A.pdf).

Voir les sources de l’indicateur A1.

Les données infranationales de certains indicateurs sont disponibles dans la Base de données régionales de l’OCDE (OCDE, 2022[10]).

Références

[7] Bäckman, O. et A. Nilsson (2016), « Long-term consequences of being not in employment, education or training as a young adult. Stability and change in three Swedish birth cohorts », European Societies, vol. 18/2, pp. 136-157, https://doi.org/10.1080/14616696.2016.1153699.

[6] Basta, M. et al. (2019), « NEET status among young Greeks: Association with mental health and substance use », Journal of Affective Disorders, vol. 253, pp. 210-217, https://doi.org/10.1016/j.jad.2019.04.095.

[3] Helbling, L. et S. Sacchi (2014), « Scarring effects of early unemployment among young workers with vocational credentials in Switzerland », Empirical Research in Vocational Education and Training, vol. 6/12, https://doi.org/10.1186/s40461-014-0012-2.

[4] Möller, J. et M. Umkehrer (2014), « Are there long-term earnings scars from youth unemployment in Germany? », ZEW Discussion Papers, n° 14-089, Centre for European Economic Research, http://ftp.zew.de/pub/zew-docs/dp/dp14089.pdf.

[9] OCDE (2022), Base de données régionales de l’OCDE - Education, https://stats.oecd.org/.

[10] OCDE (2022), « Education au niveau régional », Statistiques régionales de l’OCDE (base de données), https://doi.org/10.1787/72e03fdd-fr (consulté le 24 octobre 2022).

[2] OCDE (2022), Pathways to Professions: Understanding Higher Vocational and Professional Tertiary Education Systems, OECD Reviews of Vocational Education and Training, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/a81152f4-en.

[1] OCDE (2022), Portail de données OCDE sur l’égalité femmes-hommes, https://www.oecd.org/fr/parite/donnees/ (consulté le 30 juin 2022).

[8] OCDE (2021), Perspectives de l’emploi de l’OCDE 2021 : Affronter la crise du COVID-19 et préparer la reprise, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/40fac915-fr.

[11] OCDE (2019), Guide de l’OCDE pour l’établissement de statistiques internationalement comparables dans le domaine de l’éducation 2018: Concepts, normes, définitions et classifications, Éditions OCDE, Paris, https://doi.org/10.1787/9789264305380-fr.

[5] Ralston, K. et al. (2021), « Economic inactivity, not in employment, education or training (NEET) and scarring: The importance of NEET as a marker of long-term disadvantage: », Work, Employment and Society, vol. 36/1, pp. 59-79, https://doi.org/10.1177/0950017020973882.

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